Il s’agit de harcèlement en extérieur, fait majoritairement par des véhicules et quel que soit le mode de déplacement de la cible (moi) . A l’observation , on réalise qu’il est constant. Comme toutes les autres actions de surveillance ( internet, CB, etc..) il est basé sur des habitudes de fonctionnement de groupes jamais inquiétés, et contribue à donner à la cible une impression d’ absolue privation de liberté .
Dans le contexte actuel , il sert aussi de moyen de repérage pour pouvoir mettre en action des zappings par ondes pulsées , et quel que soit l’endroit. Peut-être aussi, au cas où le repérage par « piqûres » se révèlerait plus lent.
A Vannes , le suivi de poursuite s’organise dès ma sortie du parking si je pars en voiture, et montre, encore une fois, une disponibilité de participants et une généralisation de cette habitude, quasi effarante.
En route pour Arradon, ce jour-là, celui-ci s’était vraiment conduit comme un débutant maladroit.
Dans le parking de La Pointe d’Arradon, c’est une voiture de vieux du 60 qui avait foncé vers moi pour se mettre en travers de ma route. Le couple rigolait, content de son anonymat et de son apparent exploit.
Tout comme ils avaient communiqué pour être informés de l’endroit d’une cible à embêter , ils avaient dû le faire en retour , avec un message de mission accomplie, ignorant même sans doute que ça allait servir à bombarder la cible de rayons d’ondes et le plus vite possible.
C’est ce qui s’était passé . Là, au milieu de la nature et des arbres , dans ma voiture où j’avais prévu une sieste de récupération, les coups d’ondes ( lointains) au cerveau avaient pu être déclenchés presque immédiatement. Le cerveau ainsi sur-excité n’avait pas pu trouver de repos.
Ce soir-là, j’avais attendu la nuit pour sortir sur la pointe des pieds, sans bruit de serrure ni de porte. Même pas celle de l’immeuble.
Progressant dans l’ombre des arbres de l’avenue de la Marne, j’étais à peu près invisible. Sauf pour une voiture blanche aperçue tout soudain et en maraude. Arrivée à ma hauteur, elle et son conducteur beur , avait simplement fait un Uturn peu discret. Et la farandole des voitures suiveuses suivantes avait commencé.
Cela indiquait un espionnage à la source et éventuellement à partir de mon appartement.
Arrivée au Best Western, je n’avais personne sur mes talons, à cause du sens unique sur la place, mais c’était tout comme.
Dans la chambre, les tirs d’ondes au cerveau avaient commencé à partir de 23h , venant de la fenêtre qui donnait sur une cour. Curieusement et presque en même temps, il y avait eu des détonations au niveau de la salle de bain.
A 6h30 le lendemain, ce sont des bouffées brûlantes dirigées sur l’estomac, à la verticale, qui m’avaient fait bondir hors du lit. Compte tenu de l’exigüité des chambres, il fallait avoir glissé l’appareil émetteur sous le lit de la 211. Juste au-dessus.
Quelque temps plus tôt cette traque systématique avait été , comme c’est souvent le cas, à base de voitures de fonction. Mon départ de l’immeuble dès potron minet, n’ avait pu être signalé que par la société de nettoyage de l’immeuble . Et le rodéo des voitures d’entreprises, s’était terminé avec CG429WS, celle d’une société d’approvisionnement pour boulangers. Le hic , c’est qu’à 6h du matin, son jeune conducteur attendait, moteur en marche, loin de toute boulangerie, près de chez moi, et prétextant s’être arrêté pour téléphoner .
A sa copine ? A son patron ? qui adorent qu’on les appelle à cette heure là…
Depuis, en forçant sur l’observation, j’avais noté qu’un motard soigneusement camouflé par son casque passait systématiquement dans les endroits où j’arrêtais ma voiture, rues ou parkings, avant d’y envoyer un nigaud faire le boulot de harcèlement de présence , comme hier soir pour BK713MN.
Ce suivi de tous mes déplacements n’est, bien sûr, pas nouveau . Mais il est important de noter qu’il avait été le même en Australie en 2010, en Nouvelle Zélande en 2011 , avec en plus le harcèlement électronique en Islande en.2012 , en Crète en 2012,
C’est un élément d’analyse important .
A Cuba, c’était tout simplement le gros HUBERT, un gars de mon groupe de touristes qui avait fait le boulot de harcèlement , essayant d’entraîner avec lui tous ceux qu’il pouvait.
http://etouffoirs.wordpress.com/2013/08/03/cuba-et-crete/
A ce stade , je ne serais même pas étonnée d’apprendre qu’il avait aussi apporté avec lui le matériel d’ondes pulsées qui avait permis de me torturer le cerveau la nuit , en tous endroits. A chaque escale, j’étais la seule du groupe à n’avoir jamais de chambre attribuée à l’avance . Après attente, j’étais en général logée loin du groupe.
Chaque histoire de cible est différente , mais cependant, je précise ici que Cuba a la réputation d’être protégé de toute interférence satellitaire américaine (ou européenne), par elle-même et par ses copains chinois. Ce qui devrait permettre d’exclure la-bas cette méthode de ciblage pour matraquage d’ondes.
Par ailleurs au niveau des sensations de souffrance infligées au cerveau par ondes pulsées, mes notes permettent de mettre dans la même catégorie de sensations, celles générées par mon ex-voisin de Paris J. CHURCH ( 2012) , celles subies pendant tout mon séjour en ISLANDE (2012) et celles ressenties de façon tout aussi aigüe , douloureuse et systématique à CUBA (2012) ,en CRETE (2012) et à l’Amsterdam Court , un hôtel presque pur beur de NYC (2013)
Dans ces endroits différents, et en tous cas, on peut donc penser à du matériel semblable …. si ce n’est … le même.
Pour ce qui est des zappings effectués à bord d’avions, et que j’ai mentionnés à plusieurs reprises , je recommande simplement une lecture du rapport de Julianne McKinney, Directrice du Projet de Surveillance Electronique , en date de 1994, et qui mentionne des témoignages de faits semblables avec ondes pulsées à partir de matériel embarqué sur des vols, donc par des harceleurs .
Compte tenu des connivences * diverses pour harcèlement en aéroport, on ne peut pas l’exclure.
http://etouffoirs.wordpress.com/2013/09/14/harcelement-en-aeroport/
Le sujet de cet article était la traque physique qui aboutit aussi au zapping., Alors voici ci-dessous une information imagée de début de traque tout simple. Cette journée-là , à Paris, comme parfois, c’est un gamin anodin, guetteur, qui avait été chargé de commencer à donner l’information de ma sortie. Paralysé et rouge de confusion , il n’avait pas réussi à fuir la photo. Il s’était seulement assis;
* Pour mémoire , dans des articles précédents j’avais raconté l’anecdote du vol de ma pièce d’identité par un employé de la sécurité à Roissy et plus tard le dépôt , au niveau d’une poste de la sécurité d’Orly, d’un mien CD volé quelque temps avant dans ma voiture , à Vannes.
A la façon plus anodine d’un harcèlement de brimade ridicule on peut aussi voir :
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