Envoyé de Dieu renvoyé à l’expéditeur
Dessin de Chaval
L e camping du paradis . C’est son nom en français.
Et si c’est ça le paradis ……
Et l’aimable gérante de l’endroit qui m’avait offert les éléments de mon petit déjeuner du lendemain n’était pas en cause.
Arrivée un peu tard, j’avais eu le mobile home n° 1 . près de l’entrée .
Revenant d’une crêperie vers mon n° 1, avait permis de voir des beurs en évidente maraude de repérage . Joyeusement démonstratifs de leur facile découverte de cible.
La chambre du mobile home s’était révélée inutilisable, dès 23h30, pour cause de zappings incessants vers la tête.
Le choix d’explication était entre ceci ci-dessus , qui n’est que récepteur d’ondes TV mais susceptible d’être transformé en émetteur avec un bricolage ( trop tard) , ou un appareil émetteur posé ou entreposé en voisinage , donc à l’arrière, car la pièce de l’avant de mon n° 1 s’était révélée utilisable pour un couchage spartiate et des zappings atténués.
Le jour suivant, une voiture était venue déposer un paquet dans le mobile home en face mais resté apparemment inoccupé ensuite.
Au N° 1, les valeurs d’ELF très décentes , comme ceci m’avaient laissé un peu d’énergie mentale pour faire la traduction de l’article de M. Babáček.
Par contre, la nuit suivante avait été une horreur. Aucun endroit ne me protégeait des tirs d’ondes vers la tête, ni ne les atténuait. Ni dans la chambre , à l’arrière. Ni dans la pièce , à l’avant . Ni dans ma voiture , devant le mobile home.
L’organisation criminelle de cette histoire, omniprésente sur tout le territoire national aussi, avait réussi à mettre en place en quelques heures et avec une facilité de connivence inquiétante , une énième nuit de torture du cerveau et de privation de sommeil .
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De retour à Vannes, un sniper fou s’était défoulé avec des tirs vers ma tête à partir de l’appartement de XXXXXY
Il n’y avait pas eu de tirs d’ajustement. Pas de sommation. La violence immédiatement.
Le repérage par logiciel interposé et piqûres au pied, avait été affiné.