Il s’agit d’ un diagnostic qui couvre une période où le praticien ne connaissait pas la patiente. Déontologiquement parlant , ça ne peut pas exister .
Déonto.. quoi ?
Ici, Mr Bekir médecin hospitalier français avait fait un rétro-diagnostic des pathologies diverses qu’il m’attribuait, sur les 10 années précédentes.
Mais pourquoi pas 37 ans. ? ou 3 ans ? ou même quelques mois ?
Parce que 10 ans c’était juste ce qu’il fallait pour invalider mes diverses plaintes et ma requête à la CEDH qui mettaient en cause un système de harcèlement en réseau et plus .
Mon hospitalisation forcée de 27 jours devait servir à cela . Le rapport du corps médical , aussi.
De par sa spécialité, Mr Bekir nomme . Contrairement aux autres médecins , il n’a pas de moyen de prouver ses dires. Car, Il n’existe pas de radio d’hallucinations ni d’analyse de détection de cellules de délire .Les pathologies désignées sont des choix . Parfois même au prix de déformation.
Ainsi le VIOL en appartement , explicité à la demande de son collègue ,devant plusieurs dizaines de personnes lors d’un bilan clinique , était devenu par décision de Mr Békir , ma »conviction » d’être agressée sexuellement , Sous sa plume cela devenait aussi banal que des objets déplacés par des inconnus . Le tout était rangé sous la rubrique des »mécanismes hallucinatoires »
Un crime transformé en conviction qualifiée de pathologique. C’était aussi simple que cela. Et très attendu.
Sa démonstration suivante portant sur du délire , était à l’avenant et en était. Le délire reposait , selon lui, sur une liste détaillée de dépenses de sécurisation. Sans date.
Ce médecin déclarait ainsi pathologique , le fait de prévenir ou traiter des agressions qui ne relevaient pas de son domaine, et qu’il ne pouvait par ailleurs ni constater ni contester . Il s’arrogeait pourtant ici , le droit de caractériser , en toute ignorance de faits ou de preuves .
Et ce médecin ausculteur de mon porte-monnaie et du reste, avait déclaré ces dépenses « inconsidérées », les désignant dans la foulée de » comportements pathologiques »
Dans la bible de ces spécialistes , il existe effectivement un trouble dit de l’acheteur compulsif
Il est bas é sur 3 critères dont aucun ne pouvait être retenu dans mon cas.
Selon Wikipédia cela correspond a) des pensées envahissantes et gênantes concernant des achats ou des comportements et impulsions d’achats inadaptés, b) des achats supérieurs aux capacités financières, c) des achats fréquents d’objets inutiles ou des achats faits durant plus longtemps que prévu.
Mes achats ,eux, étaient planifiés, réfléchis, assumables financièrement. Il aurait suffi de m’écouter pour le savoir.
Mais cette fixette d’un médecin sur des dépenses liées à ma protection interrogeait surtout sur le rôle et le but de son étrange comportement..
En y regardant de plus près , on voit que mes achats sont , d’une certaine manière et en creux, des preuves des méthodes et de l’existence du harcèlement crapulo- criminel dénoncé . Les déconsidérer en les affublant d’une pathologie pouvait donc être LE moyen de les faire passer pour inutiles..
Sauf si le but est seulement de prouver la capacité du réseau à fabriquer n’importe quoi, avec n’importe quoi.
Dans sa hâte à conclure ce rapport à sa manière , le médecin avait même terminé sur un oubli fâcheux : l’existence d’un certificat spontané de guérison/libération du 23 mai… mais qui donnait à voir la supercherie globale à plus de 23.000 euros, pour les contribuables .
Dans ce dossier médical incomplet envoyé en juin, on trouvait aussi le compte rendu d’un examen EEG de mai 2013…… qui n’avait jamais eu lieu. Le résultat était dit normal . Ouf !
Ce nouveau « chantier » , à plus de 23.000 euros, et initié par un « bon franc-maçon », avait été intégralement offert par la sécurité sociale.
Pour ceux qui ont un peu de temps, voici ci-après une vidéo sous-titrée, et intitulée « le marketing de la folie » La question complémentaire est : « sommes-nous tous fous ? »