Dans la nuit du 6 au 7 septembre 2013 , les tirs d’ondes avaient eu deux origines différentes et concomitantes.
Ceux venant du studio du jeune Frenove, à ma droite , étaient « pointus » ( pointés/concentrés = laser ?) . Le second tir venant de cet endroit avait fait tomber la paravent de ma pièce posé contre notre cloison mitoyenne.
La méthode de camouflage de l’ activité de celui-ci , repose sur le fait qu’il semble prendre le matériel le soir , s’en débarrasser le lendemain et s’abstenir quand il a de la compagnie.
Les tirs en provenance de l’appartement Walti , juste en dessous étaient de type brûlant. L’un d’entre eux avait cramé la feuille d’aluminium que j’avais placée sur le sol . L’opérateur ici, se croit intouchable, parce qu’employé d’un frère, lui-même frère du commissaire du quartier, lui-même relation du député-maire de l’arrondissement qui , comme premier magistrat local, n’a jamais répondu à mes courriers sur l’insécurité : une affaire de frères.
Sur une vidéo du site des victimes canadiennes du harcèlement électronique ,
http://targetedindividualscanada.wordpress.com/
on peut voit plus clairement , la forme et la taille du pistolet à micro-ondes couramment utilisé par des criminels de proximité
Sur les sites en langue anglaise dédiés au harcèlement électronique , on apprend aussi qu’un simple four à micro-ondes modifié peut être utilisé en voisinage . Sa puissance serait de 800 watts . Les micro-ondes peuvent aussi être pulsées à très basses fréquences ( quelques Hz, en résonance avec les ondes du cerveau et de l’ADN du corps) . Il suffit pour cela d’ajouter un moulinet en sortie de faisceau .
Sur : https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dR6-kNAWdL4 , on voit les dégâts provoqués par les matraquages d’ondes , sur les visages des victimes de ces crimes de haine , pour le moment autorisés France.
Cette vidéo m’avait incitée à une retour vers mes notes prises chez une voyante quand je cherchais à comprendre autrement. Elle avait dit » ils veulent vous défigurer » et que j’avais cru devoir faire corriger » vous voulez dire me balafrer ? » Elle avait seulement répété l’air horrifié « Non, ils veulent vous défigurer » . J’avais alors pensé qu’elle déraillait un peu.
Mais , avec le matraquage non stop d’ondes électromagnétiques au cerveau depuis 15 mois , et une tentative d’enfermement long terme , assortie d’une menace bizarre de l’employé des frères ( https://lesharceleurs.wordpress.com/2013/08/22/menace/)
il fallait comprendre que quelque chose ne tournait pas rond, chez quelques uns d’entre eux.
Pour protéger les cibles , ou du moins celles qui peuvent l’être, il y aurait donc urgence à prévoir pour prévenir .
Il existe ailleurs, notamment dans certains états des US des lois interdisant la possession et l’usage privatifs d’appareils propulseurs d’ondes . Cela , d’une part, reconnaît le phénomène, d’autre part permet de sanctionner des utilisateurs connus par des plaintes nominatives.
(1) Michigan – Public act 257 of 2003 makes it a felony for a person to “manufacture, deliver, possess, transport, place, use, or release” a “harmful electronic or electromagnetic device” for “an unlawful purpose”; also made into a felony is the act of causing “an individual to falsely believe that the individual has been exposed to a…harmful electronic or electromagnetic device.”
(2) Maine – Public law 264, H.P. 868 – L.D. 1271 criminalizes the knowing, intentional, and/or reckless use of an electronic weapon on another person, defining an electronic weapon as a portable device or weapon emitting an electrical current, impulse, beam, or wave with disabling effects on a human being.
(3) Massachusetts – Chapter 170 of the Acts of 2004, Section 140 of the General Laws, section 131J states: “No person shall possess a portable device or weapon from which an electrical current, impulse, wave or beam may be directed, which current, impulse, wave or beam is designed to incapacitate temporarily, injure or kill, except … Whoever violates this section shall be punished by a fine of not less than $500 nor more than $1,000 or by imprisonment in the house of correction for not less than 6 months nor more than 2 1/2 years, or by both such fine and imprisonment.” (Wikepedia)
La FRANCE n’aurait donc que l’embarras du choix des termes en traduction pour proposer une loi.