Dans la nuit du 28 au 29 juin 2013, les tirs d’ondes pulsées au cerveau avaient débuté à 3H 15 du matin.
Il n’y en avait eu que 3.
Rien à voir avec les tirs d’ondes pulsées au cerveau des 371 nuits précédentes.
Ces 3 tirs d’ondes avaient naturellement été de nature à me réveiller . C’était fait pour cela.
Leur faible intensité pouvaient les faire qualifier de « légers » . Il n’avaient pas provoqué les douleurs et la souffrance éprouvante et continue du cerveau des 371 nuits précédentes.
Cela tendrait bien à indiquer qu’il s’agissait une nouvelle fois d’ une programmation maîtrisée à distance de ces tirs au cerveau, doublée d’ une volonté de maintien de pression dominatrice sous forme de menace à peine voilée.
Le viol à mon domicile en 2002, avait manifestement correspondu à une escalade, voulue ultime , de la violence continue organisée , au 81 rue du Fbg Saint Jacques. Les crapuleries y étaient devenues constantes et asphyxiantes . Mes réactions de défense y étaient indirectes.
La torture par ondes pulsées systématique était donc aussi à envisager comme la phase extrême d’une escalade des violences mises en place au 22 rue Ernest Renan , haut lieu de crapuleries en tous genres.
Au nom d’une liberté présumée reconnue de dire, mes réactions s’étaient étalées dans des blogs qui culminaient péniblement à une centaine de lecteurs..
La torture par ondes pulsées au cerveau, pour faire taire, avait alors débuté en mai 2012
En cherchant très peu, j’avais retrouvé l’article mis en ligne juste avant le début de ces tirs d’ondes pulsées au cerveau. Il était intitulé « le silence »
Je l’ajoute ici, pour mémoire.
« Si cette histoire n’avait pas été inventée par un ou des francs-maçons hors la loi mais qui croient en dieu, et relayés par d’autres qui n’y croient pas forcément, mais qui servent de relais dans la police, l’armée et la justice, la situation de crimes et de violences décrites dans les anecdotes précédentes et depuis une année seulement , n’aurait pas pu durer plus de six mois.
Et tous les intermédiaires assidus , concierges, voisins, employés ,logeurs, et multiples et divers autres répertoriés au fil de cette histoire , n’auraient jamais osé faire ce qu’ils se sont permis , incités et excités à participer , pour étouffer la victime ( moi) plus rapidement.
Pour se procurer les copies de clés d’une bonne quarantaine de verrous et serrures différents sans qu’une enquête sérieuse soit diligentée, et n’arrête l’escalade de méfaits , il faut de la connivence et de la complicité.
Pour que les arnaques et les vols n’aboutissent qu’à des étouffements des affaires, il faut de la collusion. Cette collusion s’est révélée transnationale. Elle s’ est aussi manifestée par une volonté de ne laisser aucune trace de cette histoire même à l’étranger .
L’essentiel semble donc bien que cette histoire n’ait jamais existé officiellement. Pour y veiller, la méthode reste toujours la même : surveillance volontairement décelable de l’ordinateur lors des connexions internet , surveillance de tous les déplacements par les dingos locaux. Car pour contrer tous les projets de la cible , il faut aux réseaux crapuleux en charge , les informations en amont qui permettent de déconstruire les situations ou prévoir les sabotages.
Il s’agit ici de la survie d’un système hors la loi, et qui consiste aussi à maintenir les femmes visées dans une entière dépendance et à l’entière disposition des organisateurs crapuleux exterminateurs.
L’anecdote sur l’arnaque de Londres est significative de la chaine des complicités mentionnées.
C’était une arnaque par internet où l’ambassade des US A m’avait demandé de payer les frais annexes d’un visa longue durée par un virement à son délégué de Londres. Virement effectué par la poste et Western Union qui s’est avéré une arnaque.
J’avais porté plainte à Londres par téléphone et reçu un numéro d’enregistrement de ma plainte. Un nouvel appel téléphonique de l’agent qui devait faire l’enquête avait suivi. J’avais donné des précisions . Le policier avait expliqué ce qu’il allait faire.
Mon voisin qui a le même patronyme qu’un célèbre chausseur anglais ou irlandais , est manifestement bilingue. Ma conversation avec l’agent anglais était apparemment audible de chez lui où il se trouvait justement. . Car sitôt la fin de cet appel, ce voisin était allé toquer chez le barbouilleur. En traitre volontaire mais encore inexpérimenté, il était resté sur le palier pour raconter ma conversation et mon histoire.
Le barbouilleur allait se mettre en relation avec son contact , qui se mettrait en relation avec …… C’est du moins ce que la suite me fera comprendre ou appréhender.
Quelque jours plus tard, j’avais reçu un long courriel d’un policier anglais différent des deux premiers . Il m’apprenait qu’il n’y aurait pas d’enquête. Ainsi en avait-il décidé. Affaire terminée.
J’avais naturellement recontacté le policier enquêteur (2ème) .Il s’était dit désolé . La décision avait été prise ailleurs. Il n’avait pas eu le loisir de me l’annoncer.
Les arnaques de toutes sortes servent peut-être aussi à faire payer les intermédiaires par la victime. Sinon, on comprend mal ce genre de réaction policière.
On retrouve ce modèle qui consiste à faire payer les autres pour compliquer la situation de la cible , dans les immeubles . Là ce sont les propriétaires qui paient sur instigation d’ un organisateur local , lequel manipule tout le monde pour le compte de son réseau et son profit. »