La définition de la criminalité inclut les termes « bande organisée « …. » tortures et actes de barbarie «
La privation de sommeil intentionnelle et manipulée dans les hôtels signe une organisation de complicités et de connivences locales. Elle ne peut exister que par pistage de la cible puis sollicitation ou action d’un tiers extérieur à l’hôtel et forcément accord et aide soit du propriétaire / gérant soit d’ employés d’hôtels.
Il y a bande organisée.
Par ailleurs , il y a escroquerie par rupture du contrat commercial . Un hôtel est un endroit où le client paie pour pouvoir dormir. Une manigance qui consiste à le faire payer d’abord puis à participer à organiser sa privation de sommeil, dans la souffrance qui plus est, est une escroquerie en bande organisée.
Celle du Hilton de Copenhague avait été magistrale.
Mais prouver la privation de sommeil est impossible : c’est de l’immatériel.
Ma parole contre celle de toute une organisation !
Dans cette histoire, la privation de sommeil est la conséquence d’actes de torture et de barbarie qui consistent à pulser des ondes électriques ou électromagnétiques au cerveau.
Le cerveau attaqué toutes les 15 ou 20 minutes est en souffrance constante. Le sommeil et la récupération sont empêchés.
Comme dans les appartements.
Dans les hôtels , cela s’était fait de nombreuses fois , par mise à disposition aux criminels de chambres ou pièces voisines de la mienne . Le matériel capable de pulser des ondes à travers les murs était utilisé à partir de ces endroits d’extrême proximité.
Pour pouvoir viser le cerveau, il fallait en plus, soit un appareil pour voir à travers les murs, soit un ordinateur avec un logiciel paramétré donnant les informations ad hoc.
Dans certains cas, j’avais été amenée à penser qu’il existait , à proximité de ma chambre une sorte d’antenne relai locale .
Il va de soi, que je me suis rarement déplacée , sans une grande partie de mon attirail de protection de la boite crânienne.
Cette poursuite systématique d’une cible (moi) avec torture également systématique dans les hôtels de n’importe quel pays , a sans doute au moins trois objectifs
– essayer de faire taire, par épuisement ou terreur,
– rendre fou, par épuisement,
– faire croire à la folie.
En effet , il pourrait sembler peu réaliste que Mme Toutlemonde (moi) soit ainsi le centre de tant de mobilisation consensuelle pour la torturer à travers le monde.
Par ailleurs, si la souffrance du cerveau avec privation de sommeil racontée est la même et avec les mêmes sensations/symptômes, à Aix la Chapelle, Lisbonne, New York , Santiago de Cuba, Analepsis, Rotterdam ou Reykyavik …. , l’objection facile serait d’affirmer que le cerveau de la raconteuse est à l’origine du mal.
Il se trouve qu’à force d’essayer, j’avais fini par pouvoir noter récemment 3 exceptions . En France.
1° à Paris. Quittant mon adresse vers 23h30 , sans préparation, et sous une pluie glaciale, j’avais été dispensée de suiveur. L’hôtel trouvé était presque plein . Le veilleur de nuit, aimable, avait pu m’attribuer une chambre entourée de clients qui roupillaient déjà. Il y avait eu des piqûres de reconnaissance et seulement deux tirs d’ondes de style antennes de téléphonie, avant une nuit de tout repos.
Le lendemain matin, un guetteur asiatique attendait devant l’entrée de l’hôtel.. Un aller retour de son regard ,entre la feuille qu’il avait à la main et ma dégaine, indiquait quelqu’un qui avait trouvé sa cible.
Mais, une 2ème nuit, quelques jours plus tard , dans ce même hôtel où j’étais arrivée cette fois vers 18h , avait été un ratage complet. Une nuit de matraquage systématique d’ondes pulsées ou ressenties au cerveau . J’avais été suivie toute la journée et jusqu’à l’hôtel .
2° à Vannes . Arrivée par un train de nuit, j’avais ensuite réussi à semer un poursuivant assidu et constant et sa voiture CN —DS . A l’hôtel, ma nuit avait commencé avec des piqûres de reconnaissance aux pieds immédiatement suivies de tirs d’ondes de type antennes-relais, et avant un sommeil normal.
3° à Chambéry , des quadras beurs suiveurs de rue, avaient été relayés par l’un des leurs dans l’hôtel. Homme toutes mains ou déguisé comme, il faisait les cents pas à « mon » étage de l’hôtel . La sieste, ponctuée de tirs d’ondes, avait été impossible.
Et il avait fallu ruser et déménager ailleurs en catimini pour avoir la paix pendant toute la nuit suivante.
Sur une cinquantaine de nuits d’hôtels en 21 mois, c’est peu pour du repos. C’est assez pour penser en terme de système mondial coercitif de type mafieux, et pour interroger
1) sur les moyens de reconnaissance du corps à distance et
2) sur le système de commande des tirs d’ondes de type domination/intimidation, et que je continue de désigner par tirs d’ondes d’antennes-relais.
https://lesharceleurs.wordpress.com/2013/10/31/tentatives-de-repit/ ( liste à compléter)
https://lesharceleurs.wordpress.com/2013/10/17/criminalite-au-xxieme-siecle/ ( sur la prolifération des armes non létales)