L’ICM est le petit nom pour Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière. Le gigantesque bâtiment de cet institut se trouve dans l’enceinte de l’hôpital Pitié-Salpétrière de Paris .
J’y étais passée pour une question à un éventuel médecin fumeur, si trouvé en train de cloper face à l’entrée. Les deux individus rencontrés et qui venaient de jeter leurs mégots dans le cendrier, n’étaient pas médecins . Ils avaient gentiment répondu à côté de mes questions déroutantes . Ils avaient surtout conseillé un contact par courrier, au cas où mon cas pourrait même peut-être intéresser un médecin . Comme cobaye.
Non, merci.
D’où cette lettre aux chercheurs de ICM , façon bouteille à la mer.
Madame, Monsieur,
Comme quelques autres personnes en France, je suis victime de harcèlement électronique. Ce type de harcèlement criminel consiste à pulser une énergie à travers les parois d’un appartement. Dans mon cas, cette énergie dirigée vise la boite crânienne presque exclusivement. Les tirs sont faits soit à bout portant (30 cms), soit à deux ou trois mètres.
Lors de ces tirs d’énergie brûlante ou sifflante , la souffrance du cerveau est épouvantable et donne envie de hurler à chaque tir d’ondes, renouvelé toutes les quelques minutes . On peut facilement comparer ces tirs à ceux d’une mitraillette. Il est impossible de s’en protéger.
Par ailleurs , il est impossible de hurler, puisque le but de cette activité criminelle est de faire hurler pour faire intervenir la police et constater une forme de démence et ainsi faire enfermer la victime.
Une certaine police joue ce rôle à merveille. Certains médecins hospitaliers collaborent .
Il y a de nombreuses années, j’avais subi deux ponctions sternales , sans anesthésie. Comme chacun sait , cela consiste à enfoncer un trocart dans un os du sternum pour en extraire la moelle osseuse à examiner . Pour casser l’os et enfoncer le trocart, le médecin utilise un maillet. La douleur fulgurante ressentie à chaque fois , avait été accompagnée de hurlements effrayants. C’était autorisé et servait de partiel exutoire.
Dans le harcèlement criminel électronique, cette sous-pape d’évacuation n’existe pas. Le cerveau souffre ainsi deux fois plus , en continu. Les tirs d’énergie de cette activité criminelle protégée , détruisent en plus des fonctions essentielles du cerveau . Dans sa forme consensuelle actuelle, la torture du cerveau par harcèlement électronique sera , pour vous chercheurs , pourvoyeuse de sclérose en plaque et de maladie d’ alzeimer précoce.
Avant d’avoir perdu complètement la mémoire, je sollicite ici votre attention sur un problème que je vous pose, comme suit:
Face aux dégâts faits sur le cerveau par une méthode criminelle connue et couverte par des Etats de droit, des changements et aménagements divers ont été inaugurés par le réseau criminel impliqué dans mon cas , pour continuer à me priver de sommeil . Sur le papier, cela définit une forme de torture.
Une des récentes méthodes utilisée , est faite de ce que j’ai décrit dans mes blogs comme des « zappings ». Ces zappings provoquent une sensation de cisaillement du cerveau avec un son à l’intérieur de la boite crânienne .Ce son n’est pas repérable, en détection extérieure, dans la gamme d’ondes des sons habituellement audibles . Le seul élément repéré au moment de la sensation de cisaillement et du son, est un accroissement du spectre du signal ambiant, de 1, ou 2 ou 3 hautes fréquences.
La nuit dernière , et en complément, j’ai aussi subi des rafales d’ondes brûlantes qui visaient la tête, à 23h, 23h15 et 23H55, et aux conséquences invalidantes, évidentes.
Ce qui amène, pour le phénomène des « zappings » les questions suivantes que j’aurais aimé poser sur le parvis de l’ICM , il y a quelques jours .
Ce phénomène ressenti est-il la conséquence inéluctable de l’infirmité de mon cerveau, laquelle a été provoquée volontairement par la criminalité répertoriée depuis 3 ans et racontée dans mes blogs ?
Des hautes fréquences pulsées à bout portant vers la boîte crânienne peuvent-elles, seules , provoquer ces souffrances ?
Ces hautes fréquences doivent-elles être porteuses de ELF ( très basses fréquences) correspondant à une des gammes de fréquences de fonctionnement du cerveau pour expliquer le son induit dans la tête , en plus des sursauts du cerveau qui empêchent le repos ?
A vous lire en commentaire.
Avec mes meilleures salutations