Pour la nuit du 2 au 3 août , je m’étais installée dans ma voiture , dans cet environnement-là.
La petite loupiote la-haut aurait été pu être rassurante . Mais pas forcément, puisque même dans cet endroit j’avais reçu des tirs d’ondes.
L’analyse de la détection dans cette petite rue résidentielle et vaguement désertée en août avait donné aussi une indication de présence ou passage d’un appareil avec une fréquence inhabituelle , et qui ne correspond pas à de la téléphonie tout venant : 400 MHz
La colonne de gauche avec 0,4 donne l’indication de l’onde porteuse ( OP) , passée de 2,1 GHz à 0,4 GHz et 2,1 GHz . Le reste des détections de cette partie de la nuit donnera des OP entre 1,5 GHz et 1,7 GHz.
400 MHz est une fréquence utilisée par des services de police et de l’armée.
Mais l’observation du tableau de détection montre aussi aussi une production de CEM ( champ électro magnétique) dans les colonnes J ( 500 MHz) et K ( 600 MHz) . Ce qui ne semblerait pas conforme avec la description faite sur le site de ARCEP
http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/consult-PMR-oct2012.pdf
et qui précise
3°) La bande « 400 MHz » (380-399,9 MHz, 406,1-430 MHz et 440-470 MHz) est la principale bande utilisée par les réseaux de PMR. C’est la seule bande, parmi celles utilisables par l’ARCEP à faire l’objet de dispositions harmonisées au niveau européen pour la mise en œuvre de réseaux PMR à large bande (c’est-à-dire, au sens de la décision (04)06 de la CEPT, pour des largeurs de bandes supérieures ou égales à 50 kHz). Cette bande est aujourd’hui répartie entre trois affectataires :
o le ministère de la défense dispose de 37,15 MHz pour ses besoins propres;
o le ministère de l’intérieur dispose de 7 MHz pour ses besoins propres ;
o l’ARCEP dispose de 29,4 MHz pour les besoins des autres utilisateurs de PMR.
Pour la nuit du 4 août , j’avais d’abord essayé de roupiller près du lion de Belfort, un endroit passant , bruyant. et facilement repérable.
Vers 22H +++ , une voiture conduite par madame avait pilé derrière la mienne. Monsieur était descendu marcher le long de mon véhicuel en se penchant légèrement au niveau du garde boue arriière. Puis, rebroussant chemin, il était remonté dans son véhicule et reparti.
« Theatre de rue » * ou pas , et peut-être seulement destiné à inquiéter j’avais malgré tout cherché, mais sans trouver, une petite pastille émettrice sous le garde boue.
Peu après leur départ, la détection avait de nouveau donné ceci , susceptible d’indiquer la présence ou le passage d’ un appareil d’un service de sécurité , police ou armée .
( I = 400 MHz; J = 500 MHz; la colonne D donne l’information de l’ OP, en rouge le CEM généré)
Finalement , j’avais quitté cet endroit passant et bruyant, pour une charmante petite place arborée et sans beaucoup d’ondes.
Malgré ce nouvel environnement privilégié , et loin du tireur fou de mon immeuble, à 23H50, j’avais sursauté sous un tir de plus de 3 GHz, après un repérage par plusieurs bolides .
Alors , organisation criminelle faschisante ? comme explication , ou expérimentation humaine ? comme l’avance cet autre blogger américain …..
* le « théatre de rue « est une technique de harcèlement en réseau et correspond à des scénarios concoctés par des groupes et joués à l’intention de la cible . Seule la cible est censée les comprendre par interprétation d’allusions ou insinuations à des faits et situations de sa vie