Les nuits de sommeil en voiture provoquent des oedèmes des jambes inférieures et des pieds.
Le siège de l’auto , même allongé au maximum n’est jamais plat. Il y a compression des jambes au niveau du bord du siège, et à la longue gonflement de la partie mal irriguée.
C’est peut-être un moindre mal par rapport à l’ oedème cérébral ou à un monstrueux oedème de la face pour cause de tirs d’énergie dirigée incessants dans la tête, et qui pourrait facilement amener à confondre les « individus ciblés « avec des ivrognes.
Ce jour, de retour chez moi, après une nuit au froid , en voiture, j’avais eu l’inconscience de m’allonger sur un lit. Ce qui m’avait valu immédiatement ce tir-ci , cadeau vachard de l’occupant du A221, déjà en transe :
Puis celui-ci :
Harnachée de l’EEG , avec un pack de gel de précaution sur le front , j’avais fait face à une aspersion de signaux de reconnaissance, qui s’était terminée par une vive et brève piqûre sur un orteil . Cette piqûre , sensation commune à de nombreux individus ciblés, donnait ceci en images EEG , et qui n’est pas pour une fois, une douleur dans le cerveau mais transmise au cerveau :
Et à 8h54, le tir ci-dessous avait provoqué une vibration forcée de la cloison nasale, et qui ressemble, si le bruit existe hors cerveau, à un groignement entre le grognement et le ronflement. Ce bruit, malgré mes essais en ce sens, ne semble pas reproductible .
L’EEG avait alors traduit cette agression ainsi :
Ces informations ne sont qu’indicatives et en plus, propres à ma situation.
Mais elles montrent , plus généralement , les souffrances crées artificiellement et engendrées volontairement par les tirs d’énergie dirigée à distance et à travers les murs..
Elles indiquent aussi et ainsi les conséquences graves pour la santé de cette horreur qu’est le harcèlement criminel électronique en bandes organisés,et laissé complaisamment aux mains de crétins criminels connus et acharnés.
Le harcèlement électronique est un risque et un danger pour tout le monde.
Ces détections et images montrent bien que les plaintes de la majorité des individus ciblés qui mentionnent des douleurs spécifiques et communes , mais problématiques à prouver, sont fondées .