Depuis quelque temps , le changement du spectre du signal ambiant, dans un appartement sans appareil électronique branché , était devenu habituel.
Ce jour du double-dix, fête politique chinoise équivalant notre 14-7, avait été passé au calme . En lecture. Et avec une pensée spéciale pour une amie taïwanaise, victime elle aussi , de cinglés.
Le détecteur de fréquences sur piles était au vert. Entre les pots de fleurs.
Son enregistrement et qui montre les changements du spectre du signal , par simple coloriage, avait donné ceci :
en bleu : le spectre du signal de base
en jaune : des sauts de fréquences
en rouge : un léger élargissement du spectre du signal, et qui change 5 fois dans la journée.
Le moment intéressant est celui de 21h et qui correspond à l’organisation de mon couchage avec moultes protections superposées pour la nuit.
Le changement du spectre du signal de ce moment là , pourrait alors faire penser à une adaptation ou un test pour éprouver la résistance des matériaux accumulés .
Dans la journée encore, on notait , comme ici de soudains élargissements du spectre du signal de base et que mon cerveau apprécie fort peu.
Pour la nuit et comme d’habitude , ça s’était vraiment gâté, avec nombreux sauts de fréquences et surtout des tirs incessants et en étau. Comme ceci et qui avait continué.
Un des vicelards du voisinage ( A201 et A221) avait même essayé des angles de tirs inédits. Pour une meilleure efficacité.
Encore une fois, l’énergie dirigée utilisée ici, ne représente pas du micro-ondage de type brûlures. Il s’agit de tirs faits en proximité , portant des sortes de sifflements et qui traversent TOUT.
CAP OLONA, un trop joli nom pour l’enfer.