Les violences institutionnelles contre les femmes

25 Nov

Après le classement d’une plainte avec CPC, en 2005, Me VARAUT, avocat pénaliste avait accepté avec pré-paiement, d’obtenir le dossier complet constitué par le doyen des juges d’instruction de Paris, sur cette plainte.
Lors d’un difficile second rendez-vous, il m’avait appris que ça ne servirait à rien, d’aller plus loin.
Selon lui, aucune plainte venant de moi n’aboutirait jamais. Il avait refusé de faire le boulot accepté par lui

Dit autrement, j’étais persona non grata , pour des juristes de ce pays .

Passant outre , cet avis défaitiste d’un juriste pénal , j’avais mené ma plainte jusqu’à la CEDH ( Cour Européenne des Droits de l’Homme) . Elle y avait été classée à toute vitesse par un franc-maçon français.
C’est ensuite à l’ONU , qu’une requête avait été envoyée et avec le même insuccès.

Quelques années plus tard, une plainte avait été portée au TPI nominativement , contre la torture infligée à mon cerveau au moyen d’énergie dirigée violente , incessante et détectée.
Le TPI avait répondu que LA JUSTICE FRANCE , ne faisait pas son boulot. Il n’était pas là pour le faire à sa place.

A l’observation des derniers rebondissements douloureux de cette histoire, il reste à savoir ou se demander , si l’origine de la torture électronique et du harcèlement criminel global qui m’a été infligé depuis si longtemps , avec refus systématique de la prise en compte de mes droits constitutionnels de citoyenne normale n’est pas , tout simplement le fait de membres cachés de l’institution JUSTICE .