de Gandhi
Après une nuit de tirs de micro-ondes fait d’un étage supérieur ou inférieur, soit à 2 ou 3 mètres du corps , un individu ciblé se lève avec des étourdissements, l’estomac et l’abdomen gonflé/tendu et douloureux, un œdème du visage , et la vue brouillée . Impossible de voir à plus de 3 ou 4 mètres.
Les tirs d’ondes de la nuit dernière pour empêcher tout repos ou sommeil , faire fuir de l’appartement , et venant d’un étage supérieur, étaient d’une autre nature . Comme quelque fois.
Plusieurs tirs préliminaires d’ondes chauffantes, ultra rapides et relativement discrètes , et alors que j’étais encore assise à ma table, avaient déclenché des douleurs de brûlures au talon du pied droit . Ces brûlures allaient me suivre plus tard, jusque dans le lit.
Sitôt allongée, de double tirs de type « zappings » ( sifflements cisaillant le cerveau) avaient commencé à viser la tête, Cette technologie fait penser à ce qui est décrit dans l’extrait ci-dessous d’un article par Jean Burgermeister comme son hypersonique *(1)
« L’éventail offert par l’électromagnétisme a permis d’accroître le nombre d’armes (leur usage actuel est autant militaire que civil) dont les formes vont des micro-ondes aux projectiles à énergie puisée (PEP) en passant par les armes dotées d’une grande puissance magnétique.
Les PEP sont des armes qui paralysent douloureuse¬ment leur victime. Le plasma qu’elles créent atteint les cellules nerveuses, mais l’effet à long terme reste obscur pour la population.
Les appareils de fréquences sonores dirigées, les « Voix-vers-crâne », sont des armes non-létales neuro-électromagnétiques qui produisent des sons à l’intérieur du crâne humain. Une technologie similaire, qu’on appelle le son hypersonique, a le même usage. «
Le premier tir prend , en général, la mesure des épaisseurs à traverser. Le second tir ajusté en conséquence, éclate dans la boite crânienne.
Des détections faites dans la gamme des sons audibles , montre que le bruit entendu dans la tête n’existe pas dans la pièce.
Outre la privation de sommeil, et la destruction des fonctions du cerveau, ils semblerait que le but de ces tirs particuliers soient aussi de pousser hors du domicile , tout en prouvant par ailleurs un suivi constant et une insécurité imparable de l’organisation criminelle en charge .
Car les tirs continuent ensuite dans la voiture.
Par ailleurs, si une nuit a été commencée dans l’appartement , avant un départ vers la voiture, il y a quasi systématiquement une violation de domicile de nuit, après ce départ : des objets sont déplacés ou cassés , les valises fermées à plomb sont ouvertes et refermées après vols divers ou extractions de papiers ou documents fourrés ailleurs , d’autres sont rapportés et mis en lieu et place etc…Certains de ces actes délinquants semblent porteurs d’un message de type mafieux. D’autres sont absolument incompréhensibles.
Un départ vers la voiture n’assure pas le repos. Après retrouvailles du corps par les pieds ( brûlures et douleurs diverses) les zappings vers la tête recommencent . Dans le parking, du matériel déposé dans le coffre de voitures semble servir de relais. Les tirs sont cependant plus atténués.
La nuit dernière ( 4 au 5 mai) je m’étais résignée à rester dans mon lit. L’empilement des épaisseurs de protection avait obligé l’opérateur criminel du dessus et sa machine, à augmenter sans cesse la puissance des tirs . Cela avait permis au détecteur d’indiquer l’utilisation comme énergie de poussée , de fréquences allant jusqu’à 2,6 GHz à plus de 23 H.
La cadence était également devenue infernale : un tir toutes les 30 ou 40 secondes et utilisant, cette fois, la fréquence 2,1 GHz
Vers 23H30 , un produit irritant les narines , avait été lâché dans l’appartement , soit par un tir, soit par la VMC . Cela avait entraîné, des chapelets d’éternuements et la formation de muqueuses étouffantes dans le nez et la gorge.
Les tirs n’avaient pas cessé.
Ma réserve de protections supplémentaires disponibles étant épuisée, j’étais sortie du monticule qui me recouvrait pour trouver des compléments . J’avais alors assisté à un festival d’éclairs.
Non, pas ceux de l’orage. Ceux des tirs venant de l’étage supérieur, et qui tendent à prouver l’utilisation de laser.
Sans gêne et sûrs de leur impunité, les criminels s’expriment sans retenue.
Mes plaintes au pénal concernant les diverses facettes de ce tye de criminalité sont toutes passées par les cases broyeur , détournement, classement sans suite.
Une plainte pour viol en groupe avait reçu la réponse d’un greffier affirmant qu’il n’avait pas été possible d’identifier les auteurs des faits
Pour mémoire, les 4 plaintes du mois d’août 2014, comme indiqué ci-dessus , n’ont jamais été traitées. Deux d’entre elles étaient pourtant simples et évidentes , documents/preuves à l’appui. L’une d’entre elles est une plainte contre un faussaire qui a signé et certifié un faux document m’engageant à une dépense, en mon nom et place . Cette plainte qui note un vol minime fait grâce à ce faux , a été déviée vers la brigade financière , qui a d’autres gros chats à fouetter.
Elle est devenue ainsi qualifiée de petite escroquerie, avec une prétendue enquête en cours, mais sans avoir cependant été présentée au parquet . Comme si les greffiers faisaient des enquêtes sans avis du procureur !
Depuis, 3 nouvelles plaintes ont été portées . L’une d’entre elles, avait été faite en gendarmerie ou l’aimable pandore de service avait transformé le « harcèlement électronique « en « harcèlement » . Il avait aussi , selon sa propre expression « reformulé » mes propos, donnant une impression de verbiage inconsistant voire de confusion mentale.
Les deux autres plaintes avaient été envoyées directement auprès du procureur de la République de la ville . Sans effet.
Dans cette organisation criminelle de type militaro/maçono/mafieux , il semble bien que le « maçono » soit le ciment et élément fédérateur qui permet , par une interprétation erronée des textes de base de l’association, de maintenir l’assurance du secret de la criminalité et des noms des criminels et aussi de permettre la transversalité des individus et moyens utilisés.
Tous les militaires ou maçons ne sont pas concernés par ces habitudes criminelles décrites par les individus ciblés. Ceux qui le sont , entrainent avec eux et dans un mode ludique , une foultitude d’oisifs qui, à force d’impunité , finissent par traiter des êtres humains comme du gibier. Chasse ouverte toute l’année. Même la nuit.
Un texte de base sur l’emprise cachée des maçons sur la société , par une journaliste du POINT, fournit des réponses à quelques questions brûlantes de leur fonctionnement en réseau inconditionnel .
Dans mon histoire , les 3 éléments de base de cette organisation criminelle 3M ( militaro/maçono/mafieux) française , s’étaient avérés actifs de la même façon à CUBA, en ISLANDE, en EUROPE du NORD, aux USA, au CANADA .
Avant l’usage systématique des ondes pour détruire le cerveau, ( mai 2012) et faire devenir fou ou rendre invalide, il y avait eu des épisodes sporadiques de micro-ondages intenses , destinés à empêcher tout projet de devenir réalisable, en créant apathie, difficultés de concentration et de mémorisation , voire apparente confusion mentale .
Le harcèlement en réseau pratiqué en AUSTRALIE et en NOUVELLE-ZELANDE en 2010 et 2011 avait fait apparaitre le même type de protagonistes militaro/maçono/mafieux, et les mêmes méthodes que celles utilisées dans des pays » dits » démocratiques et dans une dictature
dégradation sur talon de chaussure neuve – Australie
*(1) http:// CERVEAU/contrôle -des-cerveaux-micro-ondes-pulses-t6071.html
Étiquettes : 2100 MHz, étage supérieur, Canada, criminalité, criminalité consensuelle, Cuba, franc-maçonnerie, greffier, haine rance, hypersons, insécurité totale, Islande, mafieux, militaires, mode opératoire identitique par le monde, plaintes non traitées, produit irritant dispersé à l'intérieur de l'appartement, tirs d'énergie dirigée, USA, utilisation de laser