Les tirs d’ondes de la nuit dernière (27-11) avaient commencé à 23H40 après des piqûres au niveau des pieds Ils avaient atteint une intensité maximale de type acoustique à 3H du matin après des repérages constants de mes changements de place . Cela amène , de nouveau à se poser la question du ou des marionnettiste(s) de cette histoire.
Maçon donc corse ? ou Militaire ? ou les deux , l’autre aidant l’un ?
Un nouveau listage de quelques anomalies, ici seulement policières et judiciaires qui avaient jalonné les dix dernières années , est à envisager pour une quête de ce sens là, tout en gardant un oeil sur : http://etouffoirs.wordpress.com/2013/08/23/une-organisation-de-harcelement-2/
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1) Catherine PONCET , juge d’instruction à Angers (49) avait reçu ma plainte avec CPC et décidé , sans me connaître, de m’imposer une expertise psy, avant même d’ouvrir l’enquête. Refusé. Contrainte d’ouvrir son enquête , elle avait interdit à la policière désignée pour ce faire, de venir constater sur place la réalité de mes plaintes.
Cela avait entrainé un non-lieu torché en quelques lignes, bien plus tard, et sur la base d’un beau mensonge qui permet 3 hypothèses. Mme Poncet avait voulu
a) se débarrasser d’un dossier sans intérêt pour elle,
b) faire plaisir à un notable local . Ce qui est souvent synonyme de « maçon »,
c) se conformer à des préconisations de gens de l’armée .
http://etouffoirs.wordpress.com/2013/11/14/une-juge-dangers-pour-memoire/ . https://lesharceleurs.wordpress.com/2013/06/10/la-folie-pratique/
2) Fabienne POUS , juge d’instruction à Paris, en charge d’une 3ème plainte avec CPC incluant un viol en groupe , n’avait pu que constater le gigantesque bras d’honneur que lui avait fait l’entière police d’Angers .
Elle y avait délégué mon audition au commissaire , mais c’est une jeunette avec 2 mois de boite , qui l’avait assumée sans qualité.
Elle avait exigé que l’audition ait lieu dans le commissariat principal , mais l’audition s’était déroulée dans un poste de police périphérique , dans un bureau très fréquenté , mais où j’avais eu aussi plusieurs tête -à-tête exclusifs avec mon dossier. http://etouffoirs.wordpress.com/2013/10/19/laudition-10-5-2011/
Elle avait demandé que la police recueille des preuves , mais 3 policiers dont Mr Renault étaient venus fabriquer une preuve pour rigoler.
Elle voulait que le document de M Ghiloni s’intitule audition, mais elle avait reçu un document de V. Deschamps intitulé compte-rendu .Un petit chef – d’oeuvre de poncifs de type comportementalisme . .http://etouffoirs.wordpress.com/2013/11/14/une-brigadiere-dangers-pour-memoire
Face à une réalité semble-t-il inattendue , Mme POUS n’était manifestement pas, non plus, à un crime près (viol) . Le viol avait été oblitéré.
Il le sera encore plus tard , par deux procureurs différents : H. PAVY de Rennes (35) et un anonyme parisien . Et dans cette plainte -ci , Mme POUS avait essayé de boucler son dossier en catastrophe , s’emmêlant dans des dates et de nouvelles exigences incongrues.
3) C’est un dernier juge Mr DUBOIS qui prendra une décision de refus d’informer au prétexte qu’il n’existait pas de qualification pénale possible de mes plaintes pourtant bel et bien acceptées comme telles.
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4) Peu après la Cour d’Appel de Paris s’immergeant dans le psychologisme de l’ainsi reconnue – psy-infaillible – brigadière Valérie Deschamps , évacuera le dossier, transformant la plaignante/victime ( moi) en accusée- menteuse.
Et la Cour de Cassation entérinera ces accusations avec une surenchère, mais sans aucun article de loi pour justifier la surenchère .
Avec la police d’une ville entière (Angers) qui se paie la tête d’une juge de Paris et s’asseoit sur le code pénal et le code de procédure pénal dans une vaste comédie de rigolade ,
et avec un juge, Mr Dubois, qui déclare que le code pénal ne traite ni les infractions pénales listées avec références , ni un viol, les 2 hypothèses précédentes sont remises à l’honneur :
b) faire plaisir à un notable local . Ce qui est souvent synonyme de « maçon »
c) se conformer à des préconisations de gens de l’armée
5) Au niveau de la Cour Européenne des Droits de l’Homme , le traitement expéditif de mon dossier par K. JUNGWIERT avait consisté à dire qu’il n’y avait pas de violation des droits de l’homme. Ce qui devrait permettre de conclure que J-P COSTA , président de la CEDH et et son collègue K . JUNGWIERT pensaient que les droits de l’homme à violer avaient bien été respectés. On a , ici, de nouveau les 2 mêmes hypothèses b) et c) possibles.
6) Dans un tribunal de proximité pour une affaire de petit escroquerie , 3 hommes au style militaire avaient quasiment ordonné au juge de traiter mon dossier en priorité. Ils voulaient être là, tout en ayant mieux à faire.
Curieusement , avant de pouvoir entrer dans ce tribunal où j’étais déjà venue , j’avais été « désorientée » de façon inexplicable trois fois de suite. Allant sans arrêt dans la même mauvaise direction.
Sans vouloir préjuger de la cause de cette situation anodine, je pourrais actuellement émettre l’hypothèse d’une utilisation militaire d’ondes pour cet effet . Et ce, sans me trouver moi-même ridicule. Ce qui donnerait plus de poids au c) des hypothèses proposées avant.
On peut voir aussi : http://etouffoirs.wordpress.com/2013/12/02/cedh-reponses/