Archive | mars, 2017

Corse en quête d’AVC – criminalité française

26 Mar

Cap Olona , côté  appt du corse

Le corse est plusieurs.
Quand il s’absente , il est remplacé dès que ma présence chez moi est avérée. Ce qui laisse même supposer que le ou les remplaçants sont également à demeure, dans l’immeuble.

Le corse , c’est , D. STEFANE locataire de l’appartement au-dessus du mien et client de CM- CIC GESTION IMMOBILIERE .

D. STEFANE est le bras armé local du crime organisé très toléré français . Celui qui s’épanouit et s’exprime librement sans être gêné ou empêché par la police, grâce aux frères flics. Eventuellement commanditaires.

La spécialité de D. STEFANE : les tirs d’énergie dirigée dans le cerveau à désactiver et détruire. Ici, le mien.


Un AVC est un accident vasculaire à l’intérieur du cerveau. Cela peut-être brutal, soudain et irrémédiable.
On dit qu’il existe deux causes principales à un AVC
– un caillot de sang formé ici ou ailleurs,  et qui viendrait boucher une artère du cerveau
– l’éclatement d’une artère dans le cerveau , qui y entraine une hémorragie.

C’est cette deuxième cause qui semble depuis longtemps être la préoccupation des commanditaires de mon agonie, manigancée et confiée aux dégénérés nommés dans cette histoire.
Pour arriver à cette désactivation finale voulue et programmée de mon cerveau déjà bien amoché , le crime organisé français ne craint même pas la publicité nominale faite par ce blog.

Pire, DE CERTAINES, STEFANE, WALTI , POITEVIN, ROUX, non seulement  n’ont jamais été inquiétés par mes plaintes, mais 3 d’entre eux ont porté plainte contre moi.

Et, personne , à la suite de mes courriers à F. HOLLANDE ou de mes plaintes aux divers procureurs de cette République,  n’a fait en sorte de faire cesser le calvaire que je mentionne .  Comme bien d’autres cibles.

Et la nuit dernière , encore, avait été comme les précédentes passées dans cet appartement : horrible.
Les tirs qui traversaient toutes les épaisseurs déjà énumérées ( métal , cuir, mousse, plastique, matelas, coussins superposés) n’étaient pas non plus arrêtés par le béton qui sépare les appartements.
La souffrance au moment de l’éclatement des tirs dans le cerveau était à hurler.

Et les détections comme cela :

et le matin aussi

La journée suivante avait été une épreuve supplémentaire de fatigue et de recherche de sommeil seulement.

Bouffées de chaleur pour le cerveau- 900 MHz

19 Mar

Avant de m’allonger,  ce jour-là, j’avais pris la précaution de poser ce coussin sur le lobe frontal.

Ça débordait pas mal.

Et WOOOOF ,  des signaux comme montrés ci-dessous, avaient traversé le coussin , la boite crânienne et le cerveau, dans une impression de bouffée de chaleur brusque et répétée 5 fois . Ce qui avait fini par ancrer une douleur sourde au niveau de la nuque.

Cette technique , relativement nouvelle ici, s’ajoute aux propulsions de sons qui démolissent les oreilles , et aux tirs brûlants qui visent les bronches.

On reste là, avec cette fréquence de 900 MHz ,  plutôt dans la cuisson douce  d’un être humain. Cette cuisson  propulsée par à coups ne provoque pas de souffrance violente qui donne envie de hurler, comme pour certains tirs. Elle rend abruti.

Ce mode de cuisson  s’apparente cependant  , à cause de la fréquence porteuse utilisée et  des propulsions rapides et répétées, à la technique en rafales qu’utilisait parfois J-J WALTI ( Paris XV ) , systématiquement G. POITEVIN ( 85) , ainsi que des très fous à LANESTER .

Cette cuisson par propulsions de signaux , est différente aussi de celle qui avait été mise en place, par émission en continu , par J. FOUQUET et Lovely92 à Vannes (56) et par le gros SUTEAU à Saint Julien des Landes (85) .

Cette cuisson en continu  peut relever  d’un portable ou d’un four à micro-ondes bricolé et muni d’ un cornet, ou d’un générateur de hautes fréquences .

Cette fois, une expérience, rapide, avait  été faite avec un portable , pour comparaison et différence , et qui montrait  que le portable  si allumé , émet non stop . A la manière du WiFi.

Comme ci-dessus , alors que le portable et le détecteur étaient  côte à côte. FA , indiqué dans la bande jaune  est le petit nom du détecteur.
Et la détection ci-dessous indique les valeurs obtenues,   après avoir placé  le portable et le détecteur  de part et d’autre d’ un mur en placo-plâtre.


Cette comparaison , montre une nouvelle fois,  que  les « tirs » sont l’expression d’ une pratique criminelle  , certes ancienne,  mais qui se généralise dans une  indifférence  curieuse et alors même que les intervenants sont connus , et nommés .

Ce qui suit  m’avait été infligé  , à 2h du matin, à mon retour chez moi après ½ nuit passée en voiture.

 

Autre témoignage

19 Mar

http://desailesauxtalons.blogs.nouvelobs.com/archive/2016/08/25/detonnante-association-crapuleuse-institutionnelle-589611.html

Ce témoignage synthétique pose le grave problème des vidages de cibles.

On les torture et on les pousse à partir sans cesse et de partout. 

Quand une cible ne le fait pas naturellement ( partir éreintée par la torture) , elle est convoquée au commissariat où un policier lui donnera ce conseil . Un policier  m’avait convoquée à Paris, pour une série de questions qu’il voulait déstabilisantes  et mentionnant :

  • ma prétendue  santé,  fabriquée par le réseau criminel parisien, et  dont il disait  tout savoir
  • mon alliance que je continuais de porter…. tous sujets qui lui sont interdits par la loi.

Ce policier audacieux ,  avait terminé en m’annonçant que WALTI, mon tortionnaire attitré de Paris XV  ne quitterait pas l’immeuble,  et que donc …. conseil apparemment désintéressé ,  c’était à moi, la victime torturée par Walti  de partir  .

Pour finir cette convocation, le policier m’avait accompagnée jusque sur le trottoir .

Et il avait essayé  « il vont vous pousser à la violence. Vous réagirez mal . Et je viendrai vous coffrer »

Mon « Oui, je sais » minimaliste , l’avait agacé , l’entrainant vers  » la prochaine fois , je serai beaucoup moins gentil « 

Tiens donc .

Si des convocations au commissariat avec accusation de diffamation ou dégradations imaginaires  faites  par les tortionnaires acteurs du harcèlement criminel global ,  ne suffisent pas à déloger une victime , alors tout est mis en branle pour  manigancer  le départ/expulsion de la cible et  la pousser  vers la rue ou ailleurs et  avec pertes et fracas .

Une installation ailleurs est toujours un problème. Puisque cela suppose de  re-apprendre à connaître un environnement et surtout à reconnaître de nouveaux harceleurs conditionnés et instrumentalisés par les réseaux crapulo/criminels  cachés  .

Ces harceleurs cachés et qui seront incités à la violence ,  existent dans toutes les villes. Tous les immeubles. Tous les groupes sociaux.

Questions en date du 8 mars 2017