Demande d’annulation de dossier

3 Mar

Pour d’autres cibles. Si besoin.

ORDRE NATIONAL DES MEDECINS
105 Bd PEREIRE
75017 PARIS

Le 23 Février 2014

DEMANDE d’ANNULATION DE DOSSIER

I – Les faits
Je suis tombée dans la rue après avoir buté dans un pli de bitume du trottoir rue de Vaugirard 75015 PARIS  le 29 avril 2013 vers 20h30

Ma tête a heurté un pavé. Un passant a appelé les pompiers qui ont proposé de m’emmener à l’hôpital Georges Pompidou pour un scanner de la tête.

Vers 23h30 alors que je dormais sur un brancard, le Dr DELCHEV est venu m’interroger sur une éventuelle fatigue à l’origine de cette chute.

J’ai mentionné  le manque de sommeil dû à du harcèlement électronique, partie intégrante de harcèlement en réseau qui  relève de la sociologie.

Mr DELCHEV a voulu des exemples de réseaux . J’ai répondu « scientologie  » « civitas »  » franc maçonnerie » . Je n’ai à aucun moment utilisé le mot « COMPLOT »

Mr DELCHEV  a voulu des précisions sur le harcèlement électronique, qui relève de la science physique, puisqu’il s’agit de champs électriques et électromagnétiques pulsés qui sont mesurables et prouvables. Le harcèlement électronique provoque des brûlures (difficilement qualifiables d’hallucinations).

Je n’ai à aucun moment demandé d’aide ou exprimé de plainte sur cette situation globale sur laquelle il interrogeait de façon pressante.

J’ai seulement répondu à des questions,  mais qui ne relevaient pas du domaine de compétence de ce  spécialiste du mental . Mr DELCHEV  passait son temps à textoter en me parlant.

Pour conclure , avec en prévision un scanner au petit matin seulement, Mr DELCHEV m’a proposé de finir la nuit dans cet hôpital Il n’a à AUCUN MOMENT mentionné ou proposé une hospitalisation.

Le lendemain matin 30 avril 2013 – le Dr BOILLET m’a lu le certificat de Mr DELCHEV .
J’ai contesté la teneur de ce certificat  en relevant  les inexactitudes grossières
J’étais là pour un scanner et rien d’autre. Précisant  et accessoirement  que
je ne connais pas d’extra terrestres et n’en ai jamais parlé
ma privation de sommeil durait alors depuis 370 nuits et non pas  « quelques nuits »

Cette contestation du certificat de Mr DELCHEV  a mis Mr BOILLET en colère.

Mr BOILLET a exigé les coordonnées d’un référant. J’ai refusé, m’apprêtant à partir, comme prévu.
La colère de Mr BOILLET a décuplé.
J’ai finalement donné les références de Mr XXXX  à qui Mr BOILLET a tenu à parler au téléphone.

Puis Mr BOILLET m’a ordonné de rentrer dans la chambre et de ne pas en sortir.
Ce comportement autoritaire  et bizarre m’a au contraire déterminée  à prendre mes affaires pour partir, comme cela avait été prévu avec Mr DELCHEV.

Mr BOILLET a  alors appelé la sécurité pour me conduire à une ambulance , direction Ste ANNE.

Le certificat de Mr BOILLET a été fait à 11H
L’ambulance a quitté l’hôpital à 11H03

II- DISCUSSION

Je viens seulement de recevoir copie du certificat de Mr BOILLET , qui comporte 10 lignes, comme si ce médecin  avait fait une consultation de spécialiste.
En fait  notre » relation » n’a été empreinte que de sa colère, et de questions sur mon retour chez moi, que je voulais décider.

Mr BOILLET, entre autre inexactitude patente,  note dans son certificat  un refus de soin . C’est  inexact: je prends régulièrement les médicaments pour les seuls problèmes médicaux connus : un excès de cholestérol.

Mr BOILLET y note l’absence de tiers pour justifier un « péril imminent » . C’est inexact. Face à son comportement belliqueux j’avais donné  les coordonnées de Mr XXXXX. qu’il avait même  appelé.

Ces inexactitudes  font  naturellement tout autant douter des autres assertions déclinées à toute vitesse, mais censées caractériser mes années écoulées.

Sachant que le harcèlement en réseau  et dont je faisais état relève de la sociologie, et que le harcèlement électronique relève de la science physique, et laisse même des traces de brûlures , il ne s’agit pas de problème de santé mental.

Ces deux phénomènes que j’avais évoqué avec Mr DELCHEV se trouvent donc hors du champ de compétence des spécialistes du mental.

Que des psychiatres ignorent ces phénomènes de société est regrettable. Cela ne leur donne pas le droit ou la possibilité de les interpréter  ou annexer en 15 minutes d’entretien pour stigmatiser une citoyenne calme et claire et sans demande d’aide.

Dans cette  situation  qui ne relève pas de  santé mentale ,  on peut  malgré tout noter que  ces deux praticiens ont gravement  enfreint les articles 28,  31,   33,  36, 37, 40, 51 du code de déontologie des médecins.

1° en délivrant un rapport tendancieux à base d’inepties d’extraterrestres, de « complot » , d’inexactitudes pour transférer ce dossier vers leur domaine (28)

2° en déconsidérant leur nom de métier par des mensonges et subterfuges ( proposer de continuer la nuit en hôpital alors même qu’une hospitalisation surprise semblait prévue) (31)

3° en inventant un diagnostic fantaisiste qui nuit à mes intérêts (33)

4° en niant mon droit à quitter le service des urgences comme cela était prévu (36)

5° en s’obstinant de façon déraisonnable à vouloir faire un diagnostic à partir d’un phénomène qu’ils méconnaissent (37)

6° en me faisant courir le risque de  l’étiquette inappropriée  « malade mental » (40)

7° en s’immisçant d’autorité  dans ma vie privée  et au nom d’une prétendue infaillibilité profondément remise en cause par le contenu et les circonstances de leur diagnostic erroné. (51)
Ces deux jeunes   médecins m’ont porté un préjudice personnel grave en m’ostracisant et  fabriquant un dossier psy alors que j’étais là pour un scanner et permettant par la suite  que des simples d’esprit et des policiers  en profitent pour me traiter de malade mentale .

Ces deux jeunes médecins   ont entrainé des dépenses inconsidérées et inutiles (23.000 euros) pour les contribuables

Ces deux jeunes médecins aux longues études gratuites,  ont fait une faute grave en s’emparant d’une citoyenne  pour la transformer en leur patiente hors leur champ de compétence reconnue.

Si on m’avait découvert un cancer m’aurait-on hospitalisée de force et opérée sans mon avis ?

Je ne suis pas et  ni n’étais pas  la patiente de Mr DELCHEV, de
Mr BOILLET, de
Mr GAY qui m’a exhibée  comme un chimpanzé dans un bilan clinique, de
Mr BEKIR m’a fait accompagner chez moi pour faire vérifier que j’étais  propre, de
Mr MONTEIL de MARICOURT qui m’a fait rechercher par la police judiciaire après mon départ de Ste Anne  décidé par un Juge .

Je demande par la présente l’annulation de l’entier dossier de psychiatrie  de avril et mai 2013,  me concernant , et élaboré hors toute demande d’aide  de ma part et à partir de phénomènes décrits par questionnements uniquement, et renseignés par pure courtoisie, mais totalement hors  du domaine de compétence  des spécialistes ici nommés .

Je joins copie des documents suivants :
– Certificat médical descriptif  du 29-4-2013 ( envoyé le 6-12-13)
– Certificat de Mr DELCHEV du 30-04-13 à 00H04
– Certificat de Mr BOILLET du 30-04-13 à 11H
– Certificat de Mr MONTEIL du 28-5-2013

Madame XXXXX
23 février 2014

Puis plus tard :

http://lezarceleurs.blogspot.fr/2014/04/lettre-mme-marisol-touraine-ministre.html

http://lezarceleurs.blogspot.fr/2014/05/lettre-de-madame-krebs-et-reponse.html

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