La première détection avait été faite, laissée seule sans appareil autre que 3 détecteurs en fonction, dans un troglodyte, à quelques mètres sous terre.
Les deux détections suivantes avaient été faites à plus de 100 mètres sous terre, avec à chaque fois un groupe de personnes dont certaines munies de leurs téléphones portables allumés. Des essais demandés à quelques personnes , donnaient l’information d’une absence de réseau.
La MINE BLEUE est un endroit intéressant et curieux à visiter. C’est, malheureusement, une mauvaise mine pour des individus ciblés en recherche d’informations par détection pure.
Avec en mémoire le texte et les suggestions de Mojmir Babacek * (1) , j’avais essayé pendant l’hiver , des détections en troglodytes qui donnaient ceci :
Puis , Il avait fallu attendre l’ouverture saisonnière de la Mine Bleue pour un nouvel essai de détection en sous-sol.
Cette mine est dite bleue à cause de la couleur de l’ardoise qu’on en extrayait encore au siècle dernier.
Le site est plaisant , bien préservé avec un fort parfum d’authenticité . On y vient en famille, en bandes joyeuses de copains
ou en groupes disciplinés . Comme celui-ci , par exemple.
La visite de la mine est courte (1h) et se fait forcément en suivant la guide, pour d’évidentes raisons de sécurité . Le personnel est aimable et son harcèlement d’obstruction, aux ordres, se veut finaud . Cela pourrait être la conséquence d’une surchauffe des cervelles , par l’usage du système tétra ( talkies walkies) qui donne ceci en microW/m2 :
colonne I = 400 MHz J= 500 MHz, etc
Et également ceci :
Le système tétra est aussi utilisé par les gardiens et vigiles de parkings sous-terrains . Egalement par la police parisienne . * (2)
Face à la mine bleue, deux kilomètres plus loin , se trouve une antenne relais Orange et encore plus loin une antenne Bouygues
Lors de mon premier passage en détection, le groupe de visiteurs était sympathiquement minimal. Le cœur des détections avait donné ceci, à un moment de sensations d’étincelles sur les chevilles , à – 113 mètres , comme si un portable avait pris ma jambe pour une antenne :
Colonne S= 1400 MHz (1,4 GHz) , T = 1500 MHz (1,5 GHz) , U= 1600 MHz ( 1,6 GHz) etc
A cause de tous les portables de visiteurs restés allumés, il fallait compter aussi avec toutes les petites interférences des téléphones qui cherchaient désespérément un contact d’antenne. Les valeurs très faibles de CEM , sans doute des portables en recherche , allaient ainsi jusqu’à 5 GHz
La solution , pour une détection sérieuse suivante « pure » , était de payer une visite de groupe pour moi seule : Offre de paiement REFUSE par la chèfe des employées de la mine . Ce serait une visite avec d’autres joyeux lurons ou rien !
Là, encore, pour cette première visite à l’improviste, j’avais été suivie, voire précédée car harcelée par deux vieux à l’intérieur de la mine . A se relayer sans cesse derrière moi,alors que je restais à l’écart du groupe, ils avaient fini par réussir à glisser une pince à épiler sur le sommet de mon barda . A l’intérieur du sac. Ça les avait rendus heureux.
En ce qui concerne les employés de la mine ,compte tenu de la réponse abrupte de la chèfe, il était évident qu’une consigne d’obstruction avait été passée .
Pour une détection/ comparaison complémentaire, j’avais pourtant repris la route de la mine, dès le lendemain . Aux mêmes aimables employées j’avais demandé que l’on propose aux visiteurs d’éteindre leurs portables le temps du parcours sous-terrain. Après quelques contorsions verbales, un apparent accord laissait espérer le meilleur. Mais, les employées avaient exigé de faire cette annonce elles-mêmes. Elles ne l’avaient pas faite . Ma demande réitérée pendant la visite n’avait pas , non plus, été suivie d’effet.
Le cœur de la détection , lors de cette seconde visite , donnait ceci :
En fin de visite, la gentille guide Vanessa avait signalé aux visiteurs avoir complètement oublié de leur proposer d’éteindre leur portable.
La chèfe , ironique , avait fait mieux, et sollicité mes remerciements au départ , feignant d’avoir rendu le service demandé.
Le harcèlement en réseau est souvent ainsi dans sa forme : un art qui consiste, pour les participants, à prendre les clients payeurs pour des andouilles , en leur faisant perdre leur temps et leur argent avec un apparent naturel de fonction, tout en leur prouvant qu’on les prend bien pour des andouilles.
Le but du harcèlement en réseau, ici comme souvent , relevait de « l’empêchement »
Et pendant ce temps, d’ autres harceleurs dans mon appartement , avaient fouillé valises et meubles pour en emporter tous documents et carnets de notes du quotidien à analyser . Cela permet en général , à partir de 2 ou 3 informations glanées , puis interprétées de manigancer les prochains coups.
« ils vont s’acharner « avait dit un jour une voyante. * (3) YES, ils s’acharnent.
Dans mon appartement , entre les deux tours de mine , le cœur ( partie stable) des détections donnait ceci et qui se révèle le dénominateur commun de ces 4 détections ( 3 en sous-sol, 1 en surface) avec ma présence continue comme point commun :
* (1)
http://lezarceleurs.blogspot.fr/2014/12/the-ways-to-defeat-secrecy-surrounding.html
* (2)
http://lezarceleurs.blogspot.fr/2015/04/hce-rafales-en-sous-sol.html
* (3)