Lanester et les ondes

17 Mai

A Lanester , la dernière voiture à m’avoir suivie jusque dans l’impasse où se trouvait la résidence était un coupé peugeot vert. Mon point de chute n’était déjà plus secret.
Croyant à un repos possible, j’avais loué pour deux nuits dans une résidence de seniors  . L’appartement était au dernier étage , côté jardin. Pas de voiture  sous mes fenêtres, avec un éventuel  matériel électronique dans le coffre .

Une piètre satisfaction, dans un immeuble qui baignait dans la WIFI.
La sieste d’essai y avait été impossible avec des «  zappings «  d’ondes incessants perçus au cerveau comme des mini coups de fouet .
La nuit dans le lit y avait été impossible , par ce qui ressemblait à une manipulation de la WIFI et qui donnait ceci en CEM (champs électro magnétiques), façon bouffées d’ondes brûlantes qui matraquaient le cerveau. Comme ci-après,  en exemple

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1,9 indique la fréquence 1,9 GHz  , 1250, 1600 indiquent le champ éléctromagnétique soudain en microW/m2

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2hImage

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Et sachant que ces valeurs de CEM se cumulent avec d’autres équivalentes mais émises dans une autre gamme de fréquence HF , comme ceci par exemple. Image

J’avais passé cette nuit-là à la dure, dans le froid et sur les pierres du balcon.
Et le lendemain la directrice avait dit que…. non non , la WIFI n’existait pas dans les appartements, seulement dans les parties communes.
Poliment, elle s’arrêtait donc devant la porte  !

L’après-midi, il y avait eu  des bruits de bricolage en proximité de mon appartement . Connaissant les habitudes de  mon contexte,  cela pouvait faire craindre à un éventuel ajout de matériel adapté à mon cas.

Et, malgré ceci ci-dessous , (485 microTesla  en 4Hz)

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qui accable absolument le cerveau dans une gamme d’ondes qui induit l’apathie, la nuit suivante , j’avais été obligée de bouger. Les tirs d’ondes étaient encore une fois imparables et insupportables.

1) J’étais passée sur le balcon où les zappings d’ondes avaient immédiatement attaqué la tête
2) puis j’avais trainé ma couette dans un petit coin protégé près de la salle de bain. Sans succès.
Passant devant la réception désertée et l’écran de surveillance qui se surveillait tout seul,

3) j’avais opté pour ma voiture dans la cour. Les zappings d’ondes au cerveau y avait repris sous 10 minutes,

4) m’incitant à entrer la voiture dans le parking souterrain. En vain. Le matraquage d’ondes y avait été immédiat et accéléré.

L’opérateur des tirs ou la programmation de la machine qui propulsait ces tirs ne me lâchait ni d’un déplacement, ni d’un quart d’heure

Et j’étais partie 200 mètres plus loin dans la cour intérieure d’un immeuble dont les étages élevés auraient dû me protéger de l’origine des tirs si en provenance de «  ma  » résidence.

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Pourtant les tirs d’ondes au cerveau avaient repris immédiatement . Et la douleur m’avait fait perdre connaissance.
Un faisceau d’ondes semblait accroché sur moi. Sinon, c’est un élément inconnu qui permettait de focaliser les ondes vers le cerveau .

Mais, il fallait en plus   penser en termes inquiétants  d’obsession des organisateurs de cette torture du cerveau, et de complicité et connivence de type escroquerie du staff de la résidence.  Comme dans les hôtels.

S’il n’était pas un leurre, le bricolage de l’après-midi avait servi à peaufiner le  matraquage de la nuit. il ne pouvait pas avoir été fait sans l’avis de la directrice ou de l’homme de maintenance. Localement.
De retour dans l’appartement loué, vers 7 h du matin, j’avais pu dormir pendant un peu plus de deux heures  .

En tous cas, cette résidence est une  vraie bonne adresse pour ceux qui aiment les seniors plutôt martyrisés et bien cuits.

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