Cette détection avait été faite dans une mine de charbon, près de Liège . Cette mine de Blégny avait été fermée en 1980 . Son site est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2012.
Une visite de la mine commence dans une cage/ascenseur et se prolonge dans les galeries
d’abord à – 30 mètres puis à – 60 mètres . L’aération naturelle en sous-sol est assurée par des sortes d’étroites galeries verticales , susceptibles de laisser aussi passer des ondes.
Les guides sont d’anciens mineurs ou des membres de leurs familles qui racontent la mine avec une forte empathie avec le lieu.
Les contacts des guides avec le personnel de surface se font par téléphone filaire. Par ailleurs, à ma demande et sur proposition de notre guide, les participants tous francophones de cette visite, avaient été incités à éteindre leurs portables. L’un d ‘eux ne l’avait pas fait.
Pour comparaison, voici ci-après à quoi ressemblait la détection de la nuit précédant cette visite , et passée dans ma voiture, sur une route du nord de la France , par ailleurs lâchée par mes ennemis.
Mais retrouvée, le lendemain, en route vers la mine.
Dans la mine , une détection effectuée à – 30 mètres donnait ceci :
Les colonnes U V W correspondent aux fréquences 1,6 GHz, 1,7 GHz, 1,8 GHz
La détection suivante avait été effectuée à – 60 mètres. et correspondait à un moment de légère douleur au talon, et à une augmentation du spectre du signal.
L’autre détection à 12h29 , et toujours à – 60 mètres, avait été marqué par une légère douleur sur un nerf du pied.
Toutes ces valeurs de CEM sont infimes. Leur très minime variation avec légère augmentation du spectre du signal, pourrait faire penser à un verrouillage de 3 fréquences de base -colonnes U V W – sur un individu.
Mais parce que ces mêmes 3 fréquences avaient été repérées le lendemain dans deux troglodytes différents des bords de Loire, puis de nouveau dans mon appartement et avec les mêmes valeurs quand bien même je suis matraquée de tirs d’ondes non stop, il n’est pas exclu d’envisager un camouflage de type leurre.
Avec ce problème envisagé, l’appareil de détection utilisé, avait été envoyé au fournisseur pour vérification , une dizaine de jours plus tôt.
S’il s’agit d’un leurre /camouflage , il n’est pas à portée de technologie du tout venant.