La nuit dernière n’avait pas été possible dans mon lit. Ni dans ma voiture , dans le parking de l’immeuble . Le groupe criminel de cette région y avait tout prévu pour ses séances de tirs d’ondes vers ma tête. L’immeuble m’avait été rendu insalubre.
Il avait fallu bouger et donc faire au mieux sans beaucoup de repos.
Dommage. J’avais prévu un petit concentré de très modestes comparaisons entre des réflexions du récit/analyse ci-dessous et notre situation de cibles de terrorisme domestique.
Trop fatiguée !
L’auteur de cet ouvrage , Nicola Hénin, arabisant, et ex-otage en Syrie, faisait partie hier , du gratin des Causeries du Palais , dans le cadre du festival Georges Simenon . On le voit au premier rang entre la dame et le juge et l’ex-juge , à gauche .
En lieu et place , voici ci-après une nouvelle fois, le travail assez clair , fait par le détecteur de hautes fréquences, ce jour .
Une de mes hypothèses sur la confidentialité des tirs d’ondes en immeuble vers la tête est de les imputer à un matériel de communication lambda local trafiqué et géré par ordinateur . Ce qui supposerait seulement ou surtout un logiciel configuré avec de miennes données bio-physiques et offert à leurs copains voyous locaux par des employés de l’armée . Ce matériel pourrait servir de couverture , ou/et en plus , être programmé et/ou utilisé à distance , comme l’indique Barrie Trower
« Tout téléphone mobile émet des micro-ondes , tout appareil cellulaire (picocellulaire) trouvé dans les magasins peut être programmé par ordinateur pour le faire. Il en va de même pour le téléphone cellulaire que vous avez avec vous . Cela peut être fait également sur n’importe quel téléphone de votre famille et même quand il est totalement hors tension. »
Mes voisins du dessous étaient absents depuis la veille . Leur box était en fonction. Comme souvent , elle s’était affichée en doublon pendant quelques secondes. Ce qui y fait penser aussi … au doublon et, peut-être , à une prise en main à distance. Car les tirs viennent alternativement, de chez eux aussi.
Parfois, les deux box s’affichent en doublon.
Et même si le spectre régulier du signal entre 1,5 GHz et 1,8 GHz repéré dans mon appartement en « zone grise » fait parfois penser à des fréquences de satellites de communication , plutôt qu’à celle d’une box WiFi voisine survitaminée, il faut garder en mémoire les bricolages d’ennemis spécialistes de hautes fréquences, racontés et montrés successivement dans ce blog.
Toujours pour couverture.
Cette première détection montre l’état du signal alors que le détecteur avait été laissé seul dans une pièce. Cela donne une régularité pour spectre du signal/chouia de CEM/ fréquence porteuse (T= 1,5 GHz)
Lorsque je m’étais installée près du détecteur , cela avait donné de petits écarts, comme ceci, en marron:
S= 1,4 GHz et W = 1,8 GHz
Puis, allongée près du détecteur, l’opérateur ou l’appareil du dessus s’était offert ce zapping-là : schlack. Sur la boite crânienne. La fréquence porteuse 1,4 GHz encadrait le tir.
Pendant ce temps-là une recherche d’ELF entre 15Hz et 60 Hz avait trouvé ceci
et cela entre 8Hz et 38 Hz
et ceci entre 4Hz et 34 Hz
Plus tard en lisant le blog de Michel Duchaine, cette image avait retenu mon attention, à cause d’un phénomène de « respiration à l’envers » ou « respiration contrariée » et que je n’avais pas encore trouvé explicité dans des blogs de cibles de harcèlement électronique.
Il s’agit d’une impression bizarre d’ondes poussées dans les narines au moment d’une expiration. Il existe donc une sorte de force opposée à un mouvement naturel et qui provoque un bruit non reproductible volontairement.
Cette violation des narines comme voie d’accès au cerveau m’avait alors interpellée sans pour autant avoir trouvé de réponse. Elle est peut-être ici.