Ma plainte pour torture par ondes pulsées, avait été envoyée au procureur en LAR le 2 avril avril 2013.
Monsieur le Procureur ,
Je porte plainte ici pour
1° torture au terme des articles 222-1; 222-3 8° & 9° alinéa, 222-4, .Cette torture est organisée à l’adresse ci-dessus sous forme de harcèlement électronique tournant .
Cette forme de torture consiste, à propulser des ondes électromagnétiques à travers les murs . Un rayon qui semble porter ces ondes leur permet de traverser toutes les protections mises en place .
C’est attaques violentes ont lieu pendant la nuit . Elle sont une source de souffrances difficilement descriptibles, et me privent de sommeil depuis 10 mois.
Le matériel utilisé semble paramétré pour atteindre prioritairement le cerveau , pendant la nuit et brûler la plante des pieds , le matin.
………..
Une convocation d’un gardien de la paix , suite à cette plainte a été faite le mercredi 14 août 2013. Soit 4 mois et demi plus tard.
La convocation a été postée le vendredi 16 août 2013 et a été re-expédiée le 19-8-13 .
Alors que mon courrier arrive à Vannes, j’étais alors à Paris. J’en prends connaissance ce 25 août.
Cette convocation prétend être la deuxième ( faux) et dernière possible, ajoutant qu’à défaut du procès-verbal, cette affaire sera classée sans suite. Donc pas de rattrapage.
Ce n’est qu’un autre détail.
Le 22 août , jour de cette convocation , JJ Walti y aurait donc fait allusion ( voir article précédent) ajoutant même une menace au cas où il me viendrait à l’idée de doublonner cette plainte.
Ce qui est classique est le traitement concocté d’une affaire alors que je suis dans l’impossibilité de répondre pour cause d’absence et délais trop courts.. C’est la 3ème fois. Cela entraine le classement de l’affaire qui protège un des membres du réseau de harcèlement en réseau.
On a , de cette façon, une information sur ce réseau de harcèlement. Il suffit de regarder pour qui travaille JJ Walti, à l’article précédent.
La 1ère affaire concernait un chantier par un lieutenant de police qui avait retourné ma situation de victime, en situation d’accusée d’agression sur mon agresseur : un géant de 2m et plein de kilos et qui m’avait trainée par terre sur une dizaine de mètres pour m’arracher mon appareil photo. Le géant était un copain du lieutenant .
L’IGS avait envoyé sa convocation après mon départ pour l’Australie. A mon retour , 2 mois plus tard j’avais signalé ce fait par courrier. Sans réponse. Naturellement.
La 2ème affaire classée par un subterfuge du même type qu’ici , concernait ce même JJ Walti pour ses injures et menaces de Noël. L’affaire avait d’abord été classée parce que réglée par une autre administration , selon le procureur. Et une plainte avec CPC que la juge avait refusé de traiter avant mon départ pour 3 mois, avait naturellement été classée pendant mon absence.
Rien que du classique.
Ce qui l’est moins, est la non prise en considération de la TORTURE par un Etat de droit.
Les citoyens torturés comprendront peut-être encore mieux ce qu’ils craignent depuis un certain temps, si leur situation présente quelques similitudes avec la mienne.
La TORTURE par ondes pulsées est oblitérée, et ici, par manigance officielle.
La TORTURE par ondes pulsées est aussi à comprendre comme une prérogative de certain(s) groupe(s) criminel(s).
Tout comme le harcèlement en réseau. http://etouffoirs.wordpress.com/2013/08/23/une-organisation-de-harcelement-2/
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