Dans le harcèlement en réseau les actes délinquants (violations) ou brutaux ( agressions) subis par les cibles laissent quelquefois des marques ou des traces . Elles sont en général assez anodines , insignifiantes ou difficiles à montrer pour qu’il soit impossible d’en faire état sans risque d’être ridiculisé. Les cibles apprennent à leurs dépens à dépasser cette crainte pour expliquer.
A ce stade je pourrais décrire la nouvelle technique délinquante et par contre sans trace , des violeurs/voleurs beurs de mon domicile . Après avoir essayé de maquiller les numéros de plombs à usage unique http://etouffoirs.wordpress.com/2013/08/21/suivez-le-plomb-2/ et fait faire des doubles d’une autre série, ils sont passés à la technique ouverture/fermeture du plomb sans le casser. Cette délinquance en bande, avec cours préparatoires et récidive, viole à jet continu des droits élémentaires et fondamentaux de citoyenne avec un acharnement diabolique.
La nuit dernière les tirs vers le cerveau relevaient de la boucherie. Criminalité sans trace.
Toute cible cherche à connaître et comprendre qui sont les réseaux commanditaires/protecteurs et les intermédiaires ou réseaux exécutants .
Pour une cible , le plus difficile à déceler et faire admettre relève de situations à tiroirs . Car il faut mettre du sens et des explications plausibles dans les espaces vides . Pour cela, il faut se remémorer tous les détails d’apparence illogique pour leur appliquer la logique d’une interprétation imparable.
Telle une pièce de puzzle , elle est la seule possible à cet endroit-là.
Démonstration pour rappel sur 3 exemples, détaillés et déjà racontés dans des blogs précédents, et dont deux choisis exotiques pour ce qu’ils apportent d’indications sur la répétitivité de schémas, et le caractère global et mondial des méthodes utilisées. Avec en sus le mini-exemple du forum futura-sciences.
Après des contorsions incroyables pour acheter cette voiture en évitant 2 écueils de cibles
1) Que les clés soient copiées par le réseau crapuleux avant la remise du véhicule
2) Que le même réseau crapuleux fasse pression sur le vendeur pour empêcher la vente ou en changer les conditions,
Le jour J était arrivé . Mais, sur place dans le garage de Nogent le Rotrou qui livrait le véhicule , l’attente avait été anormalement longue. Jusqu’à ce que déboulent 2 grands gars , qui avaient foncé directement dans l’atelier sans passer par la case accueil. Sitôt leur départ, on m’avait apporté mes clefs et la carte du code confidentiel . Défloré.
La voiture était neuve et ça valait explication avec le directeur. Introuvable. A une 3ème demande agacée , sa secrétaire répondra qu’il s’ était enfermé dans les cabinets , portable débranché.
Honteux ?
La voiture sera ouverte avec marques du passage des intrus , dès son premier stationnement. Comme les précédentes voitures. Le code confidentiel découvert était donc un leurre. Ce qui amène à envisager au moins deux des méthodes faciles pour copier des clés de voiture
1) Les avoir en main et utiliser la technique du kit allemand , ce qui ne donne accès qu’à une ouverture manuelle . La copie conforme d’une clé haute ou très haute sécurité se fait en 240 secondes .
2) Scanner le programme de l’encodage à partir du logiciel dédié du garage et le copier immédiatement sur une clé vierge
C’était bien sûr à cela qu’avaient servi les deux grands . Pour faire pression à ce point sur un patron de garage … il faut en avoir les moyens. Fonctionnaire d’Etat hors fonction oblige plus facilement .
5000 kms plus tard, le garage Peugeot d’Angers avait insisté pour un 2ème contrôle gratuit de mon véhicule . Ce sera, pour m’échanger des pneus quasi neufs contre les pneus lisses de la voiture d’une beurette et sous la houlette d’un chef du réseau crapuleux local en surveillance.
Il paraît qu’ils sont une trentaine ou une cinquantaine dans chaque ville de province.
Mes pneus neufs pour la voiture de la beurette était une récompense sans gêne , facile et habituelle, à un membre du réseau d’appui actif de base.
La semaine suivante, j’avais malgré tout proposé une solution d’arrangement au garage. Refusé. Un refus accompagné d’une menace de plainte en diffamation. Ce qui m’avait incitée à prendre les devants et à me diriger vers le commissariat.
Ma présence et l’objet de ma plainte – escroquerie et abus de confiance – avaient fait jaillir le brigadier Daniel Pinault de son bureau. Sa collègue et subalterne du registre des plaintes avait reçu l’ordre réitéré de ne noter ni mon nom ni ma plainte.
En réseau , avec un fonctionnaire d’Etat comme protecteur . Affaire évacuée.
Après avoir fait beaucoup envie , puis un peu moins, ce véhicule était arrivé à un sale état et un besoin de réparations non négligeable. Un employé du concessionnaire local avait établi un devis que j’avais accepté. Trois jours plus tard avec la voiture sur le pont du garage pour réparation, le devis avait triplé.
La voiture avait été se faire réparer ailleurs. Tout près du prix initial.
Le réseau local avait encore frappé.
L’autre anecdote que je re propose pour mémoire est celle d’Arthur Pass ( NZ) où, seulement de passage , j’aurais dû être une absolue inconnue. L’endroit était cependant la seule étape concevable de cette route de montagne. Je pouvais donc y être « espérée »
Arrivée sans réservation, j’avais réussi à me loger dans une petite maison sans confort. En contrepartie celui de la grande maison proche était à disposition : cuisine, salon, salle de bain
Installée au chaud sur une table du salon avec mon ordinateur et mon sac , j’avais subi les assauts répétés d’un grand suédois avec femme et enfant et fini par ranger la clé USB dans le sac ,et fermer l’ordi. pour m’occuper de leur môme Eleanor.
Le grand Stephen, aux propos de fonctionnaire international, avait continué à s’agiter dans l’autre partie du salon. Ne le connaissant ni d’Adam ni de sa côte , et d’un naturel trop peu parano, j’avais continué à vaquer et pouponner.
Et tout soudain malgré un orage de montagne avec une pluie dense et drue à ne pas mettre le gros orteil dehors, le grand Stephen avait enfilé un imper pour sortir à toute vitesse . Comme pour un besoin pressant.
De retour dans ma chambre, avec sac et ordi je découvrirai le vol de ma clé USB . Le grand Stephen était sorti pour la livrer ou en transmettre le contenu .
Cette volonté de donner l’impression de n’avoir, ni intimité, ni confidentialité, ni mémoire, ni passé , est une constante de ce système observé qui vient de me voler une carte mémoire de photos dans une valise fermée à plomb à usage unique, à Vannes.
Ce même réseau français avait , quelques mois plus tôt, siphonné une clé USB contenant mon dossier criminel ; clé USB confisquée avec les autres par les soignants aux ordres de l’hospitalisation sous contrainte.
Mais retour à Arthur Pass, où le grand Stephen était entré dans ma petite maison , fouiller mon bagage pendant le temps de ma douche dans la grande maison . Il n’avait pas refermé la porte à clé.
Le lendemain, la petite famille suédoise repartie pour Melbourne très tôt, avait laissé un mot de remerciement scotché sur la porte , pour le responsable de l’hébergement . Avec le mot , il y avait 3 clés , dont la copie conforme de celle de « ma » petite maison.
Avisé du vol de ma clé USB, le responsable de l’hébergement , employé d’Etat , avait changé de couleur .
Stephen, le suédois , quel groupe ?
A Motueka ( NZ) avant de partir en voiture pour un circuit en montagne un jour d’orage annoncé , j’avais averti seulement mon logeur .. et j’avais eu celui-ci
aux trousses à toutes les étapes, s’adaptant à ma vitesse. Sauf là, au retour , où il avait doublé. Pressé.
Dans chaque village , il y avait eu , en plus, une relève complètement inattendue , et peu discrète pour un suivi constant. J’avais entrainé celui-ci sur la plage
, m’amusant à des photos de souches et troncs échoués
et que l’homme en bleu était systématiquement allé inspecter derrière moi.
Quand j’étais entrée dans ce salon de thé ,
celui qui attendait dans sa voiture garée juste devant, m’avait suivie.
Il y avait une expo-vente d’objets insolites accrochés aux murs . Avant de quitter j’avais voulu en faire le tour. Ce qui me rapprochait de mon « maton » devenu cramoisi. La propriétaire du lieu était alors venue me demander de ne pas continuer, laissant deviner que le « maton » d’occasion était un potentat local.
De quel groupe ?
Une anecdote française pour finir . Une interrogation directe et explicite sur Futura-Sciences et destinée à ne pas me faire perdre de temps, avait fait sortir le gardien du temple de physique, de ses gonds. Répondant que ce que je cherchais comme information – matériel utilisé pour des tirs d’ondes à distance – n’existait pas, il avait immédiatement prévenu ceux qui auraient eu des velléités de répondre . Avec aussi peu de civilité que de subtilité, il leur avait annoncé que je déraillais.
Diagnostic « boule de cristal » Discussion fermée.
Deux autres exemples parisiens de harcèlement en réseau sur :