Tag Archives: torture par souffrance infligée volontairement

Harcèlement électronique – le droit de dire – le devoir de dénoncer

23 Oct

la-proscrite-113073996

Copié du blog : http://laproscrite.canalblog.com

Le harcèlement électronique, également nommé harcèlement psychotronique  *(1) dans sa forme plus globale , est constitué d’agissements hostiles et agressifs utilisant des appareils qui fonctionnent grâce à l’électronique .

Un grand nombre de personnes ignorantes de ces termes et donc de ce phénomène caché et par ailleurs violemment maintenu comme tel, l’amalgament à tort au harcèlement téléphonique qui est plus  familier ou à la cyberdélinquance.

Le harcèlement électronique existe depuis plusieurs décades. Il est pratiqué en bandes organisées criminelles, qui agissent le plus souvent en voisinage de la victime .

Le harcèlement électronique vise, par la propulsion de signaux de diverses natures et qui traversent parois ou protections , à détruire une « cible » . Une  » cible » est un être humain désigné, donné, vendu ou proposé comme pouvant être torturé par n’importe qui , jusqu’à l’épuisement , la folie ou le suicide.

Le harcèlement électronique est pratiqué dans le monde entier.

Le harcèlement électronique appartient au domaine de la criminalité , mais sans en faire encore officiellement partie , puisque ne relevant pas encore à ce jour, en France, d’une sanction listée par le code pénal.

Il ne peut donc pas faire l’objet d’une plainte , en tant que tel. Il peut seulement , et sans être nommé pour ne pas risquer de voir la plainte entachée de nullité, relever de plusieurs infractions sanctionnées par le code pénal , la Convention Européenne des Droits de l’Homme, et dont  entre autres :
– l’atteinte à l’intégrité physique et mentale .
– le droit de ne pas subir de torture (par privation de sommeil), article 8 de la Convention et 17 du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques

Pour donner suite à une plainte, les pouvoirs publics demandent en général à la victime de prouver la matérialité des faits, et/ou la relation de cause à effets. Compte tenu des conditions de la mise à exécution à distance , à travers les parois , du harcèlement électronique , un grand nombre de « cibles » voient leurs plaintes passer en poubelle à la vitesse V.

Pire , pour se débarrasser des « cibles » certains policiers et certains médecins décident souvent de concert, de sanctionner l’utilisation des termes « harcèlement psychotronique » ou « harcèlement électronique « en traitant les citoyens qui le mentionnent de « dérangés » à soigner ou  à enfermer.

Cela constitue une très grave atteinte au droit à la liberté d’expression de chacun et un manquement notoire
– au code déontologie de la police
– au code de déontologie des médecins.

La liberté d’expression , donc le droit d’utiliser tous les mots qui décrivent clairement et posément une réalité connue d’un citoyen , est garantie par l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) qui dit « tout citoyen peut donc parler , écrire, imprimer librement « 
La DDHC a été insérée dans le préambule de la Constitution de 1958.

Par cet acte, la liberté d’expression est devenue un droit constitutionnel.

Ce droit à la liberté d’expression , donc au fait de nommer et décrire, est également garanti par la Cour Européenne des Droits de l’Homme qui précise même que ce droit à dire vaut également pour tous avis ou informations même s’ ils heurtent, choquent ou inquiètent.

Le fait de décrire une situation comme étant du « harcèlement électronique «  est donc un choix d’un citoyen et qu’aucun médecin ni policier n’a la possibilité de contester , refuser ou transformer en maladie mentale.

Si un policier ose le faire, alors il contrevient à l’article 2 du code de déontologie de sa profession * (2) qui dit «  La police nationale s’acquitte de ses missions dans le respect de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen , de la Constitution, des conventions internationales et des lois »
Si un médecin ose le faire , alors il contrevient à l’article 51 du code de déontologie de sa profession *(3) qui dit « Le médecin ne doit pas s’immiscer sans raison professionnelle dans les affaires de famille ni dans la vie privée de ses patients »

Si un médecin ose faire un certificat médical de problème mental ou psychologique , en se basant seulement sur des réponses faites par un client à ses questions, alors il contrevient à l’article 28 du code de déontologie de sa profession qui mentionne «  La délivrance d’un rapport tendancieux ou d’un certificat de complaisance est interdit »

Ce phénomène de harcèlement électronique  ne peut être mentionné officiellement à la justice que sous des formes appropriées, en  utilisant le infractions listées au code pénal et qui correspondent aux situations des « cibles  » :  « torture par privation de sommeil consécutives aux tirs d’énergie pulsée » ou encore  » atteinte à l’intégrité physique et mentale  »

Pour témoigner de ce phénomène criminel caché et encore largement méconnu qu’est le harcèlement électronique , et  pour que les « cibles  » soient peut-être écoutées, les citoyens volontaires  informés de ce qu’est le harcèlement électronique criminel, disposent par ailleurs , de l’article 434-1 du code pénal qui dit «  Le fait pour quiconque ayant connaissance d’un crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets et dont les auteurs sont susceptibles de connaître de nouveaux crime qui pourraient être empêchés , de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende »

Il y a pour les victimes actuelles  de harcèlement électronique et  également pour les victimes potentielles (tout le monde)  urgence à dire et témoigner pour faire stopper ce fléau  et  pouvoir faire sanctionner  cette horreur.

img_9066

Tirs d’énergie dirigée dans le cerveau en provenance de l’appartement A221

img_9067

Ces tirs ont continué jusqu’à 6H30 du matin (23 octobre 2016)

* (1) https://lesharceleurs.wordpress.com/2013/06/21/harcelement-dit-psychotronique/
*(2) https://fr.wikisource.org/wiki/Code_de_déontologie_de_la_police_nationale
*(3) https://www.conseil-national.medecin.fr/sites/default/files/codedeont.pdf

TIRS d’énergie dirigée de la Saint Valentin

15 Fév

IMG_6267 happy valentine

Voici  ci-dessus, en détection, et en couleurs ,  des tirs d’énergie dirigée vers la tête, en date de la Saint Valentin. 

Sur la ligne jaune en haut, les fréquences qui portent les tirs (agressions par énergie dirigée). Dans les lignes de couleurs différentes, des détections de tirs , dont les effets ne sont , qu’un peu seulement , amortis par les protections superposées.
Il s’agit de sifflements, imparables et qui empêchent tout endormissement . Malgré ceci :

IMG_6260 sous ceci

Ces tirs pour cette nuit- là venaient alternativement des appartements au-dessus et en dessous du mien . C’est une stratégie habituelle et connue qui oblige à redistribuer la protection à n’importe quelle heure de la nuit.
Ici, comme ailleurs, Il semble bien que personne ne veuille déranger ces voisins-là , ou se manifester en prévention.

Comme à PARIS XV. Comme à VANNES (56)
Des plaintes pour :
Torture par souffrance infligée volontairement
– Torture par privation de sommeil
– Atteinte à l’intégrité physique et mentale
sont entre les mains du Procureur de cette ville depuis février 2015.

IMG_6246 ici

Pour faire taire une victime de harcèlement électronique , les français criminels connaissent une méthode efficace : accuser la victime avec l’aide bienveillante des fonctionnaires de l’Etat chargés de sa ( aussi) sécurité.
C’est ce que vient de faire le marin gradé , retraité de la marine Nationale et vivant aux Sénioriales (85)  : G. POITEVIN

C’est ce qu’avaient fait avant lui, à Vannes,  : J. FOUQUET, A.ROUX, Lovely92-LEDUEZ

C’est ce dont sont venus me menacer , ici  et alternativement : D. Stefane et Mr Decroix

Pour mémoire, il faut se souvenir que le harcèlement caché est mortel. Il détruit volontairement le cerveau , la vie sociale et la santé, pour que la cible devienne incapable de se défendre ou de s’organiser.
Collaborate2
En France, des femmes en sont surtout victimes, dans un consensus d’omerta quasi général .

Cette cause de santé publique , liée à l’usage destructeur d’ondes pulsées de toutes sortes à travers les murs , a besoin de gens courageux (  élus, journalistes , médecins, physiciens) pour être expliquée et surtout  combattue .

Voici ci-après un nouveau résumé explicatif de ce type de situation que, fort justement, certains nomment le harcèlement criminel global.

Le harcèlement criminel global se compose du harcèlement criminel en réseau (HCR) et du harcèlement criminel électronique (HCE).

Le harcèlement criminel en réseau est pratiqué de façon extensive par tous les milieux sociaux-professionnels et le plus souvent , dans le cadre du métier, ou sous couvert d’une qualité  et des moyens  d’action qui y sont liées.
Ce harcèlement  criminel est destinée à montrer ou prouver qu’une personne est dérangée ou folle, et à défaut à faire en sorte qu’elle le devienne ou puisse être diagnostiquée comme telle. Pour cela les pratiquants du harcèlement en réseau utilisent  un corpus de nuisances qu’ils adaptent au cas particulier de leur cible.

Le harcèlement criminel électronique est la forme physique , barbare et violente du harcèlement criminel global.

Le harcèlement criminel électronique , quand il est mis en place en proximité de la victime , consiste à pulser des signaux ( faisceaux de fréquences)  à travers les parois , à partir d’appartements voisins . Ces signaux peuvent porter des micro-ondes, des sons, des sifflements  et  aussi de très basses fréquences qui interfèrent avec celles du cerveau.
Ces signaux  sont pulsés par des appareils programmés pour priver la cible de sommeil dans des souffrances indescriptibles , et aussi  pour brûler  la peau et les organes internes et   détériorer sa santé .
Les auteurs de ce crime sont des voisins . Les organisateurs sont leurs correspondants/dominants.